Le musée du Louvre est le plus grand musée parisien par sa surface, il a été ouvert en 1793. Le bâtiment est un ancien palais royal qui fut délaissé et vu comme un palais secondaire alors que Versailles était considéré comme le palais principal. Trente cinq mille oeuvres y sont exposées alors qu'il y en a trois cent mille au total.
Nous allons d'abord étudier "Le 28 juillet : La Liberté guidant le peuple" d'Eugène Delacroix. Ensuite nous analyserons "Le radeau de la méduse" de Théodore Géricault. Pour finir nous montrerons en quoi ce tableau est emblématique du romantisme (...)
[...] Nous allons d'abord étudier Le 28 Juillet : La Liberté guidant le peuple d'Eugène Delacroix. Ensuite nous analyserons Le radeau de la méduse de Théodore Géricault. Pour finir nous montrerons en quoi ce tableau est emblématique du romantisme Etude d'un tableau de Delacroix Le 28 Juillet : La Liberté guidant le peuple : ce tableau peint en 1830 aborde le sujet de la révolution française de Juillet 1830 à la faveur de laquelle un nouveau régime, la monarchie de Juillet, succède à la Seconde Restauration. [...]
[...] C'est un tableau antiacadémique car il y a des personnages hors-champ. Le peintre romantique comme le poète s'intéresse à la ville qu'il peint et il s'engage en faveur de la liberté. Delacroix est le chef de file de l'école romantique en peinture. Ces œuvres dont celle-ci font scandale par leur nouveauté. Il privilégie la couleur sur le dessin : c'est la réaction du sentiment contre la raison Etude d'un tableau de Géricault Le radeau de la méduse peint en 1812 inaugure le romantisme. [...]
[...] Le réalisme est lié au choix d'un sujet d'actualité mais le peintre passe du fait divers à l'allégorie de l'homme qui attend l'espoir. Il choisit un grand format pour donner toute sa noblesse à un sujet quotidien Commentaire personnel de ce tableau de Géricault Cette œuvre est romantique par divers aspects : D'une part le peintre ne cherche pas à peindre la réalité. Il cherche à montrer les sentiments intenses qu'éprouvent les naufragés, du désespoir à l'espoir et à l'idée de salut. [...]
[...] La méduse est un bateau échoué dans la mer et les naufragés ont survécu sur un radeau pendant treize jours en mangeant les cadavres. C'est une peinture du mouvement avec une nature déchaînée et une énorme vague. Le peintre met en valeur des sentiments dont la détresse et il exprime un passage du désespoir à l'espoir. Il y a deux structures pyramidales. Au premier plan, sur une ligne horizontale la mort est représentée. Puis sur une ligne verticale l'espoir d'être sauvé, la lumière divine sont évoqués. [...]
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