Le nom de cette exposition fait penser à une idée de mémoire, puisqu'à l'origine une « Black Box » qui se traduit par boîte noire en français, est utilisée dans l'aviation, elle sert à garder en mémoire toutes les informations liées à l'avion afin que lors d'un accident l'on puisse en comprendre la cause. Dans cette exposition, elle sert à garder en mémoire toutes les informations, vidéos de l'exposition. Il s'agit d'un musée portatif qui reste sur un disque dur. Le disque dur fonctionne comme une boîte noire, avec la possibilité d'entrée et de sortie des données. L'inconvénient de cette « boîte noire » est l'incapacité de manipuler quoique ce soit pendant l'exposition, il n'y a pas possibilité de remettre la vidéo au début ou de choisir un passage, comme on le ferait avec un lecteur DVD.
L'intérêt de ce moyen de stockage de données est la facilité de mobilité des données qui permettent la diffusion de ce projet dans le monde entier, comme la Serbie et l'Australie où elles seront présentées.
[...] La première vidéo a pour fonction de simuler l'interrogatoire d'un demandeur d'asile et ce sont des employés de l'agence de formation dans le management des conflits culturels. Acte 2 est en quelque sorte une biographie de l'acteur. Il dit qu'au début il était géomètre en Serbie. Ensuite, il décida de devenir acteur et il nous explique tout les rôles qu'il a eu dans sa vie, et que sa carrière d'acteur n'a jamais été très élevé. Il a toujours joué des petits rôles, ou alors figurant quand il n'était pas coupé au montage. [...]
[...] Ensuite, dans la même pièce nous avons l'installation vidéo de Zoran TODORROVIĆ, né à Belgrade en 1965, Gypsies and dogs,Les chiens et les Gitans en français ,datant de 2007, qui est réalisée à l'aide de micros- caméras spécialement conçues pour le projet. Ces cameras ont étés fixées sur des colliers portés par des enfants mendiants et des chiens errants dans les rues de la ville de Belgrade. Le terme Gitans a une connotation très péjorative en France et est associé à la persécution. Ces vidéos retracent les déambulations motivées par l'instinct de survie. [...]
[...] Lors de la toute première représentation de cette vidéo, elle a été très mal comprise et a suscité de nombreuses polémiques. Alors que sont but était, à travers ces vidéos réelles, de dénoncé ce milieu de vie, affin de s'interroger sur les problèmes sociaux, et de montrer que les chiens et les gitans sont perçus comme des formes de vies inférieures La qualité sonore médiocre est peu être du au mouvement de celui qui le porte et est associé à la qualité de l'image. [...]
[...] Dans son exposition au crac il a présenté deux vidéos, n'ayant aucun sens l'une sans l'autre. Elles ont pour titre Acte 1 et acte 2 et ont été créés en 2010, elles sont donc très récentes. L'installation de ses vidéos se compose de deux écrans de projection, la deuxième est derrière la première, mais décalé ce qui permet de les regarder en même temps. Dans la première vidéo, nous avons trois personnages, l'un est un officier au bureau de l'immigration, l'autre un refugier bosniaque et enfin le dernier est un interprète. [...]
[...] Analyse de l'exposition The Black Box Project Museum / Memoria L'exposition The Black Box Project Museum compte l'association de quatre artistes : Katarina ZDJELAR, Zoran TODORROVIĆ, Bojan FAJFRIĆ, Igor ŠTROMAJER originaire de l'ex Yougoslavie. Nous avons pu en voir que deux malheureusement, qui était dans le cadre de la visite aux collégiens. Le nom de cette exposition fait penser à une idée de mémoire, puisqu'a l'origine une Black Box qui se traduit par boite noire en français, est utilisé dans l'aviation, elle sert à garder en mémoire toutes les informations liées à L'avion afin que lors d'un accident l'on puisse en comprendre la cause. [...]
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