Histoire des villes et des territoires

Thèmes abordés

Histoire des villes, histoire des territoires, urbanisation, architectes, paysagistes, architecture, ville italienne, ville médiévale, Bernardo Rossellino, Piazzo Pio II, Pienza, Jean Antoine Giral, embellissement urbain, siècle des Lumières., Louis XIV, arc de Triomphe, Montpellier

Résumé du document

Un futur architecte et/ou paysagiste doit s'intéresser à l'histoire des villes et des territoires, car c'est le monde d'aujourd'hui, et que nous construirons demain. En deux siècles d'urbanisation, nous sommes la moitié de l'humanité à vivre en ville. Il est donc nécessaire de s'en intéresser pour comprendre l'histoire de nos villes, les améliorer, les développer, les embellir et ainsi les faire perdurer.

Extraits

[...] Histoire des villes et des territoires I. Pourquoi selon vous un futur architecte doit-il aujourd'hui s'intéresser à l'histoire des villes et des territoires ? Vous vous attacherez à développer et argumenter votre réponse. Selon moi, un futur architecte et/ou paysagiste, doit s'intéresser à l'histoire des villes et des territoires, car c'est le monde d'aujourd'hui, et que nous construirons demain. En deux siècles d'urbanisation, nous sommes la moitié de l'humanité à vivre en ville aujourd'hui, il est donc nécessaire de s'en intéresser pour comprendre l'histoire de nos villes, les améliorer, les développés, les embellir et ainsi les faire perdurer. [...]

[...] Je pourrais aller plus loin en climatisant la ville, produire de la biomasse et du bien-etre sociale nourricier. Ainsi continuer de développer l'idée de bio-région. Se rattacher à un sol et ouvrir le territoire au-delà des limites administratives. Car nos villes fonctionnent à l'image d'un écosystème, d'un bassin de ressources. Pour améliorer les villes écologiquement, il faut habiter les systèmes que nous avons endommagé, et concevoir avec le déjà-là. C'est la même doctrine. Pour comprendre ces phénomènes et les améliorés en villes, il faut s'en intéressé. [...]

[...] Enfin, il est primordial de parler de sa promenade ombragée, ventilée et qui nous ouvrent sur différents horizons. Cette promenade dont la construction fut décidée à la fin du XVIIè siècle était destinée à recevoir une statue équestre de Louis XIV à l'image de notre statue et place Louis XV (la concorde) à Paris. À l'époque des lumières, les jardins et les fontaines étaient un générateur de plan d'extension et d'embellissement des villes. On peut ajouter que l'esplanade se compose également d'un arc de Triomphe aux divines proportions. [...]

[...] Notamment durant le haut moyenAge, ou les villes, souffre d'invasions barbares. Le monde est confus, divisé avec un déclin de la vie urbaine, qui transforme les villes en remparts. L'évêque s'improvise défenseur de la cité. Les paysages restent « peu changés » dans la seconde moitié du moyen age, malgré le défrichement de nouvelles terre, l'amélioration de l'agriculture et une re naissance des villes par une conquête de liberté avec la création de bastides et villes nouvelles. Le style romain, qui était la tendance dans les 11 et 12e siècle était plutôt épais, lourd et fermé, et se caractérisant par des arches arrondies. [...]

[...] Décrivez une ville italienne emblématique de la Renaissance. En quoi cette ville marque-t-elle un changement par rapport aux villes médiévales ? Nous allons ici parler de la ville de Pienza en Toscane (Italie). C'est une ville emblématique de la renaissance italienne car elle nous ouvre ses portes sur des canons urbains de la Renaissance par l'organisation rationnelle de ses espaces et par les perspectives des places et des palais de la Cinq cents. Effectivement, notre urbanisme de la renaissance entre en opposition avec l'urbanisme médiévale. [...]