A l'origine de l'architecture, la forme était en adéquation avec la structure : structure fonctionnelle apparente.
Par exemple, le temple grec : les colonnes portent l'entablement qui porte le toit.
Le naos (en grec), la cella (en latin) est un petit réceptacle divin. Il ne tient en aucun cas la place d'un lieu de rassemblement : seuls les prêtres peuvent y accéder pour célébrer un culte donner des offrandes (...)
[...] Déjà, par les ordres d'architectures assimilés à des types de corps d'humain. Mais aussi par exemple par les formes de colonnes, comme les entasis (renflement d'une colonne) qu'on assimile à un organe pour une charge, comme un muscle contracté pendant l'effort. (1)Paestum L'architecture romaine est multiforme. Elle a remployé de nombreux éléments de l'architecture grecque. Par exemple, l'Eglise Saint-Trophime à Arles. Sur la façade de cette église, on retrouve la base, les colonnes les chapiteaux consécutifs mais ceux-ci n'ont pas de forme déterminée ; ils ne rentrent dans aucun ordre. [...]
[...] La règle de système de proportions qui détermine les ordres n'est pas respectée. Les romains ont donc repris un modèle architectural mais n'ont pas respecté les formes, ni les proportions. Leur seul but était la fantaisie. En ce sens, les romains inaugurèrent : leurs chapiteaux narrent quelquechose, sont historiés, souvent de manière symbolique. Sur le fronton on observe un programme proliférant iconographique sculpté. Bien souvent il s'agit du jugement dernier. La façade d'une église a donc désormais cette vocation d'éducation, d'instruction morale auprès du peuple. [...]
[...] Ordres d'architecture A l'origine de l'architecture, la forme était en adéquation avec la structure : structure fonctionnelle apparente. Par exemple, le temple grec : les colonnes portent l'entablement qui porte le toit. Le naos (en grec), la cella (en latin) est un petit réceptacle divin. Il ne tient en aucun cas la place d'un lieu de rassemblement : seuls les prêtres peuvent y accéder pour célébrer un culte donner des offrandes. Ainsi, on peut faire une analogie entre un temple grec et une sculpture : tout deux sont des espaces que l'on contemple, sans y entrer. [...]
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