L'ouvrage traité est intitulé Formes urbaines de l'ilot à la barre, un broché de 196 pages, réalisé sous la direction de Philippe Panerai, avec la participation de Jean Castex et de Jean-Charles Dépaule. Cet ouvrage, paru pour la première fois en 1977, a été édité vingt ans après la première parution du titre par l'édition Parenthèse le 4 novembre 1997, et a été traduit en plusieurs langues, notamment en anglais.
[...] On en décrit très bien une partie de l'évolution de l'ilot. À travers ces deux chapitres lus, j'ai pu avoir une idée sur ce que l'urbanisme était en France, le passage de la ville fragmentée à la ville vue dans son ensemble, sans l'intervention de Haussmann, Paris n'aurait pas dû être celle qu'on connait aujourd'hui, la ville structurée, équipée, et pensée comme un tout. Le passage sur les closes Londoniennes, met le point sur les espaces intermédiaires, espace privé/public. Ce texte en dit long sur la fonctionnalité de l'espace commun dans l'esprit anglais. [...]
[...] -Un troisième exemple de cités jardins figure, c'est Welwyn Garden City Située à 22km de Londres, elle aussi desservie par le train, faite partie de la couronne de la ville nouvelle. La compagne de Howard et ses amis a vu la nécessité de construire rapidement des logements autour de Londres, malgré la convection de l'état par cette nécessité, elle n'a pas financé le projet, car à l'époque, il ne s'intéresse pas aux cités jardins, sans attendre l'aide de l'état, Howard a financé son projet lui-même. [...]
[...] La close peut avoir une forme de Tu plus long que le rectangulaire, il privatise d'avantage l'espace de la cour, reculée de la rue. Les clauses engendrent des impasses, chose qui signifie que c'est propre aux habitants, le public qui le pratique est celui qui l'habite, l'appropriation du devant (la rue et le trottoir, l'espace en contact direct avec la maison) engendre un jardin commun. Les jardins du derrière sont isolés du devant, accessible soit depuis les maisons soit à travers des passages arrière. [...]
[...] La ligne de partage à l'intérieur de l'ilot est triangulaire, est la bissectrice de l'angle des rues. Chaque parcelle a une profondeur moyenne, les façades étirées au long de la voie sont exclues. L'ilot est bâti par parcelle une à une, et rarement groupé en une unité, Le contour triangulaire ne produit évidemment que des irrégularités, angles aigus les parcelles ont donc des formes différentes, elles varient aussi en superficie. L'idée n'est pas l'uniformité. -La structure du bâti est infectée par des contraintes de densification, et souci de rentabilisation, les parcelles sont exiguës en rapport avec le type du bâti, la parcelle n'est plus autonome, mais elle est lié aux autres deux ou trois parcelles avec lesquelles elle partage des cours intérieurs ou se développait les rapports sociaux, aussi des puits d'aération qui se sont mise en commun entre chaque deux parcelles. [...]
[...] -Analyse urbaine (1999) avec Jean-Charles Depaule et Marcelle Demorgon, -Projet urbain (1999) avec David Mangin, -Paris métropole : Formes et échelles du Grand-Paris (2008) Parmi les prix qu'il a emportés, le grand Prix de l'urbanisme 1999, ainsi que Nathan Starkman Jean-Charles Dépaule : est né en France, à Toulon le 1945, est un écrivain Français, est docteur chercheur en sciences sociales et directeur de recherche au CBRS CNRS au sein de la Maison méditerranéenne des Sciences de l'Homme à Aix en Provence. vit actuellement à Paris. Il est l'auteur de plusieurs recueils et, outre ses textes, il publie régulièrement des traductions (de l'anglais et de l'arabe) et des essais critiques. Jean Castex : né le 27 août 1942, est architecte, docteur en urbanisme et professeur à l'École d'architecture de Versailles, et au DEA Écoles d'architecture Institut Français d'Urbanisme, il est «également historien de l'architecture, spécialiste des questions de typologie. [...]
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