Augustin Berque, paysagisme, théorie du paysage, agronomie, jardins d'agrément
Cinq propositions pour une théorie du paysage présente les travaux de deux écoles (l'Ecole architecture de Paris-La Villette et l'Ecole des hautes études en sciences sociales) associées pour la préparation au D.E.A « Jardins paysages territoires ». Présentant un point de vue phénoménologique de plusieurs paysagistes de théories, cet ouvrage nous amène à cinq interprétations de cinq auteurs de différents horizons scientifiques : de la géographie à la sociologie, de l'aménagement paysager à l'agronomie, à travers la philosophie. Le paysage est considéré comme étant guidé par le mutant : est régi par les lois de l'entropie, est constamment (ré-) invention de la société.
[...] 115). Pour l'auteur, le pays est le degré zéro du paysage, celui qui précède directe (in situ) et / ou indirecte (in visu). Un pays n'est pas, en substance, un paysage. Nous trouvons des paysages du pays grâce à une médiation de l'art. Pour Alain Roger pour une compréhension du paysage est d'abord nécessaire de procéder à la lecture (leur interprétation). Le concept de double artialisation défendue dans cet article par Roger est essentiel pour comprendre les autres quatre articles. [...]
[...] Pout la société occidental le paysage est pensée comme une métaphore. Être une invention urbaine, Le paysage agit comme un transport à un autre monde dans lequel il ya une authenticité qui a été perdu dans la ville: aller sur le terrain, trouver des paysans.Il est encore un fois une mémoire archétypale qui etait perdue (le désir de chercher plus loin dans le monde des paysages). Michel Conan fait valoir que l'intervention effective sur le territoire, l'architecte- paysagiste ne doit pas seulement connaitre le terrain mais aussi le groupes qui habitent cette endroit. [...]
[...] L'auteur remet en question la notion de signature du paysage et comment il exprime la symbolique collective de paysage. Si le paysage est un symbole de la réunion du groupe social dans son appropriation par les formes de cette expérience d'un endroit, qui a la signature de l'identité, la valeur attribuée à elle est un symbole des idéaux collectifs du groupe. istoriquement, la preuve en est que les inventions de nouveaux paysages sont le résultat d'une rupture d'un groupe social qui avait un pouvoir en place. [...]
[...] Chacun d'entre eux reflète la tension, médiée par la production artistique, entre le lieu et notre regard (entre in situ et de visu). Il reste ici de savoir si le paysage existe lui-même ou il est une construction mentale de l'homme: un moment où la mort est un sujet qui soulève une réflexion sur la création d'une théorie du paysage qui combine l'art et la technologie, où on peut regarder le vide laissé par les deux côtés de l'analyse. [...]
[...] Pour l'agronome par exemple, un paysage est la conséquence visible d'un projet écologique, économique et technique. Mais l'opinion de l'agronome maintenant n'a pas un aspect important a cause de la domination de la science et la technologie. L'absence d'utopies modernes est la cause ou la conséquence de la difficulté qui existe aujourd'hui dans la réparation des projets sociaux intégrés dans le paysage? (p.69). L'article de Bernard Lassus structure, L'Obligation de invention du Paysage aux ambiances Suivantes est basé autour de différents projets menés par son équipe, plaçant des doutes sur le rôle de l'architecte dans la construction du paysage. [...]
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