Présentation de la cathédrale Notre-Dame de Reims avec photos et schémas de l'intérieur et de l'extérieur.
[...] Ensuite à quelques pas de là se trouve la Porte de la Chapelle Saint-Michel seul vestige restant de l'église Saint-Michel. A côté de l'église, nous trouvons l'Office du Tourisme qui au XIIe siècle était la maison du Trésorier des Chanoines de la cathédrale et abritait l'administration des finances. Derrière ces deux bâtiments, il y a la Porte du Chapitre jadis nommée Portique de la Cour-Chapitre, cette porte était l'accès principal au quartier des chanoines. A proximité de la Cathédrale, se trouve également le Palais de Justice qui communique avec le Parvis. [...]
[...] Chapitre VI : Bibliographie. Néouze, Dominique, Casterman, Tournai Wenzler, Claude, Architecture Religieuse Gothique Ouest France, Rennes Encyclopédie par l'image : les cathédrales librairie hachette, Essonne La longueur de l'édifice tel que nous le connaissons aujourd'hui est de 149 mètres et sa hauteur sous voûte est de 38 mètres étalés sur 3 niveaux. - Absidiole - Cœur - Croisée des transepts - Portail latéral - Transept - Bas-côté ou collatéral - Nef - Tour - Portail principal Le plafond de la cathédrale est en voûte sur croisées d'ogives et ce dans toute la cathédrale à cause du respect du premier plan par les différents architectes. [...]
[...] Et bien sûr la guerre de 1914 1918 qui a détruit la moitié des 3500 mètres carrés de verrières ayant survécu aux outrages précédents. Cependant, les vitraux rémois bénéficient d'une continuité de soins et de technique, puisqu'une même famille de maîtres verriers, la famille Simon et aujourd'hui Simon-Marq, se succède de génération en génération depuis le milieu du XVIIe siècle. A l'acharnement thérapeutique pratiqué pour conserver et restaurer les verrières détruites s'est ajoutée la création de nouvelles fenêtres dans l'esprit des bâtisseurs, en harmonie avec le monument. [...]
[...] - Le couvrement : - Les Matériaux : Un matériau unique à été utilisé pour la construction de cette Cathédrale : Le Calcaire blanc de Courville et Hermonville. C'est une pierre de taille, ce qui justifie son style Gothique. - Style et justification : L'invention de la voûte sur croisée d'ogives à l'époque gothique permet le développement d'immenses verrières remplaçant les massifs et sombres murs romans et créant ainsi des parois de lumière. A cette même époque, les murs on des lignes verticales pour donner une impression de légèreté et d'élévation vers les cieux. [...]
[...] Leurs noms sont connus grâce au labyrinthe, dallage en méandres du pavement que les fidèles suivaient à genoux et où les maîtres d'oeuvre inscrivaient leur nom. Celui-ci fut malheureusement détruit au XVIIIe siècle. Jean d'Orbais travailla à la construction du choeur jusqu'en 1228 puis Jean le Loup éleva la nef et la façade, où son successeur Gaucher de Reims plaça les statues et réalisa le revers des portails. Bernard de Soissons dessina la grande rose, les gâbles et acheva de voûter la nef. [...]
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