Culte Panhellénique, sanctuaires panhelléniques, Grèce, la cité, civilisation
Depuis longtemps, les grecs ont le sentiment de former une communauté unie par une même civilisation, par la langue et la religion et ce malgré leur morcellement politique.
Ce sentiment d'appartenir à une même communauté est régulièrement fortifié par des manifestations à caractère panhellénique, c'est-a-dire «de tous les Grecs », «rassemblant tous les Grecs».
L'apparition et le développement de plusieurs points en Grèce de sanctuaires dont l'influence et la fréquentation débordent le cadre de la cité et qui constituent des lieux de rencontres et d'échanges pour les Grecs venus des recoins les plus éloignés du monde grec.
[...] Le sacrifice officiel est offert à la divinité majeure du sanctuaire, celle en l'honneur de qui les jeux sont célébrés ; mais il y a aussi des sacrifices aux divinités secondaires s'y ajoutent certainement selon les affinités de chacun. La veille des jeux à Olympie, est honoré Pélops, fondateur mythique des jeux. Le programme des concours, pour l'essentiel, est identique dans les 4 grands sanctuaires pour les épreuves gymnastiques et hippiques, à Delphes et à l'Isthme ont aussi lieu des concours musicaux. Durant 7 jours, dont 5 pour les épreuves sportives. Les épreuves sont peu variées. [...]
[...] Les sanctuaires panhelléniques aux VIème et Vème siècles. Introduction : Depuis longtemps, les grecs ont le sentiment de former une communauté unie par une même civilisation, par la langue et la religion et ce malgré leur morcellement politique. Ce sentiment d'appartenir à une même communauté est régulièrement fortifié par des manifestations à caractère panhellénique, c'est a dire de tous les Grecs rassemblant tous les Grecs L'apparition et le développement de plusieurs point en Grèce de sanctuaire dont l'influence et la fréquentation débordent le cadrer de la cité et qui constituent des lieux de rencontres et d'échanges pour les Grecs venus des recoins les plus éloignés du monde grec. [...]
[...] Le vainqueur n'est pas l'augire, le conducteur de char, mais le propriétaire de l'attelage. Les épreuves sont ne sont connus que très peu du fait qu'il n'y a pas encore de fouille d'hippodrome en Grèce. Il s'agit essentiellement du tétrhippon, course de quadriges, sur une distance de 8400m environ ; de la synoris, course de biges, introduite au début du 5ème siècle à Olympie et a Némée, sur une distance de 5600m ; et enfin du kélès, course de chevaux montés qui est une épreuve réservées au riches citoyens. [...]
[...] La gloire des athlètes rejaillit sur les cités et l'orgueil que tire chaque État de ses vainqueurs aux jeux, comparables pour Pindare ( poète de la moitié du 5e siècle aux vainqueurs à la guerre, se traduit par des honneurs officiels, fixés par des lois variables d'une cité à l'autre ; Par exemple a Sparte, le vainqueur a droit d'être placé devant le roi au combat L'honneur le plus exceptionnel est l'instauration d'un véritable culte, comme pour Théogène de Thasos de devenir une sorte de divinité guérisseuse selon les conseilles de la Pythie, ainsi une statut est installé au centre de l'agora de Thasos. Sans compter l'importance des sanctuaires panhelléniques qui ont pour fonction de réunir les Grecs, durant une courte période de paix de de fraternité, le panhellénisme comprends aussi d'autre sanctuaires et temple qui constituent aussi une forme de panhellénisme. Le culte Panhellénique. Les sanctuaires oraculaires : L'oracle de Delphes. On appelle chrestérion ou manteion les sanctuaires oraculaires, dans lesquels une divinité fait connaître sa réponse ( chresmos ) à ceux qui sont en quête de conseil. [...]
[...] Ce cycle a permis au début du 5ème siècle a Théogène de Thasos de remporter les 4 jeux successivement, ce qui lui valut de nombreuses statues a son effigie et une tradition légendaire : Après sa mort, il est promu en tant que héros guérisseur. Les deux premiers concours ont été les jeux olympiques, fondés selon la tradition, en 776. Les jeux Pythiques en 590 et réorganisés en 582. Les jeux Isthmiques ont été fondés vers 582 580 et les concours Néméens vers 573. Les sanctuaires panhelléniques sont généralement situés a l'écart de toute ville importante car leur isolement leur donne la vocation d'être un lieu de rassemblement indépendant. Le déroulement des fêtes. [...]
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