Les répercussions de la création de la machine sur les designers, architectes et autres hommes créateurs

Résumé du document

Il n'est possible de parler de machine que depuis le XIXe siècle appelé aussi l'air industriel. Il a pu voir le jour pour la première fois en Angleterre avec le fer et le charbon qui ont permis la création de machines et donc d'entreprises industrielles. Grâce à cette innovation technique et aux connaissances de l'homme, un nouveau concept de création débute.

Au cours de cette dissertation, nous nous appuierons sur deux citations du célèbre architecte Le Corbusier qui exprime que les hommes de ce siècle ont "fait de la machine un dieu nouveau, alors qu'il convient de n'y voir qu'un produit fatal de l'activité humaine réalisant son outillage. Nous l'avons montré : c'est un produit obéissant plus exactement aux lois de la nature que ne le faisaient ceux créées par l'artisan", de ce fait il en déduit qu' "une maison est une machine à habiter, un fauteuil une machine à s'asseoir".

Extraits

[...] Le Business class vient illustrer cette notion, puisque ce moyen de transporter des objets prouve en masquant la main dans le produit, que le produit en lui-même est plus important que son utilisateur. En quelque sorte, il le restreint, l'utilisateur n'a pas d'autres possibilités que de la porter à la main. L'architecte populaire s'attarde à dire également de la machine que c'est un produit obéissant plus exactement aux lois de la nature que ne le faisaient ceux créés par l'artisan dans cet extrait il chercher à nous faire comprendre les limites des machines, leur rationalité. [...]

[...] Le film Charlie Chaplin, les temps modernes de 1936 illustre bien la notion dégagée par Le Corbusier dans sa citation lorsqu'il cite il convient de n'y voir qu'un produit fatal de l'activité humaine réalisant son outillage Le film dégage alors l'inhumanité de la machine et Le Corbusier réalise que la machine est au service des armes. C'est à cette époque que les robots permettent un travail plus aisé de la femme au foyer ce que nous montre le document des Années 1940-1950. Cependant, la machine introduit de ce fait la dépendance, la soumission. Les hommes ne peuvent contrôler les mécanismes comme il le souhaite. Les machines ont des fonctions précises à remplir, l'homme les fait fonctionner que dans cet objectif. [...]

[...] Le fauteuil club est alors réalisé en acier tubulaire, les pièces sont réduites au minimum fonctionnel. Elles sont toutes les unes plus que les autres nécessaires à la fabrication d'un fauteuil. Pour ce qui est du tabouret, cela paraît impossible de réduire davantage sa fonction à une assise associée à un piètement auparavant les tabourets ne pouvaient sans doute pas être imaginé autrement qu'avec quatre pieds minimum. Pourtant avec les connaissances acquises, nombreux ont été les tabourets ou chaises conçues d'après le principe du contrepoids. [...]

[...] Le temps a permis à ce produit de s'approprier de nombreuses fonctions. À ce demander laquelle d'entre elles est la fonction principale . La technique, les machines, les connaissances nous laissent croire qu'elles influencent notre avenir. D'après l'analyse du point de vue de Le Corbusier et les documents iconographiques, nous avons pu faire ressortir les nombreuses possibilités qu'offrent les machines, mais également les limites qu'elles fixent à l'homme. L'évolution des machines est donc possible qu'avec du temps et les acquisitions de connaissances des hommes. [...]

[...] Les répercussions de la création de la machine sur les designers, architectes et autres hommes créateurs Il n'est possible de parler de machine que depuis le XIXe siècle appelé aussi l'air industriel. Il a pu voir le jour pour la première fois en Angleterre avec le fer et le charbon qui ont permis la création de machines et donc d'entreprises industrielles. Grâce à cette innovation technique et aux connaissances de l'homme, un nouveau concept de création débute. Au cours de cette dissertation, nous nous appuierons sur deux citations du célèbre architecte Le Corbusier qui exprime que les hommes de ce siècle ont fait de la machine un dieu nouveau, alors qu'il convient de n'y voir qu'un produit fatal de l'activité humaine réalisant son outillage. [...]