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Gérard Koenig parle d'un aspect bifront pour souligner un avantage concurrentiel qui serait soutenable. En effet, sa théorie met en avant selon sa citation que "l'entreprise doit générer sur la durée des résultats qui lui permettent de satisfaire les attentes de ses partenaires et de ses actionnaires et de procéder aux investissements nécessaires au maintien de sa compétitivité".
[...] Les investissements politiques ne sont pas toujours une valeur sûre pourtant pour Koenig. Malgré la diversité entourant les possibilités d'obtenir plus de performance dans le cadre d'une réflexion politique et en dépit de la réussite avérée des études portant sur les mécanismes au sein des enquêtes qualitatives et théoriques, une analyse des statistiques donne une vision contraire de la performance issue des stratégies politiques. En effet, les investissements politiques permettent parfois plus l'obtention de facilité d'exercice plutôt que la possession durable d'un avantage concurrentiel stable. [...]
[...] La théorie de l'avantage concurrentiel stratégique de Koenig Pour commencer, Gérard Koenig parle d'un aspect bifront pour souligner un avantage concurrentiel qui serait soutenable. En effet, sa théorie met en avant selon sa citation que "l'entreprise doit générer sur la durée des résultats qui lui permettent de satisfaire les attentes de ses partenaires et de ses actionnaires et de procéder aux investissements nécessaires au maintien de sa compétitivité". Les deux critères entendus selon lui sont : - la création de valeur pour la clientèle (l'ensemble des éléments justifiant sa valorisation supérieure). [...]
[...] Les outils déployés de la protection de la propriété par les brevets à la mise en place d'une promotion de fidélisation constituent autant d'éléments capables de perturber les avancées rivales. En plus, un soutien fourni par les autorités à travers l'approbation de politiques favorables représente aussi une option majeure de domestication et de la conquête d'avantages concurrentiels par la firme. A la fois à l'œuvre sur les stratégies politiques et de marché, l'entreprise promeut la quête de performances durables et importantes en face des autres firmes. L'élément central voulu se trouve au cœur avec l'obtention d'un avantage concurrentiel soutenable. [...]
[...] A l'inverse, le signal envoyé autrement ne semble pas pertinent et n'incite pas à l'acte d'achat. Oliver et Holzinger ont aussi concentré leur étude sur le conservatisme de certaines stratégies. Pour eux, elles ont déjà le mérite de la simplicité et de la connaissance des paramètres du marché. Toutefois, elles décalent dans le temps les réalisations d'adaptations et d'améliorations pouvant faire progresser l'ensemble. L'excellence et l'ancienneté acquises sur un marché peuvent constituer une sorte de barrière à l'entrée pour d'éventuels concurrents ne pouvant pas faire face aux mêmes conditions sans faire des pertes. [...]
[...] On peut lier cette supériorité par le gain d'une performance axée à un avantage concurrentiel soutenable qui promeut une création de valeur fortement accrue. La thèse de Koenig met en avant la difficulté à jouer sur le facteur de création de valeur qui aura une influence sur la décision du client par rapport aux conditions de l'offre de référence ainsi qu'à la pertinence de son business model à long terme. La différenciation indispensable ? Les firmes se détachent de façon singulière. [...]
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