Comportement de l'entreprise, agent économique rationnel, production, concurrence parfaite, combinaisons productives optimales
Tout comme le consommateur, le producteur est un agent économique rationnel, il cherche à maximiser son profit sous
contrainte, par définition, le profit est CA-CI.
Le profit de chaque entreprise correspond au surplus du producteur, afin de maximiser son profit, deux programme
d'optimisation permettent de rendre le profit maximal.
- Maximiser profit sous contrainte de prix
- Minimiser les couts de production, la contrainte étant la quantité à livrer sur le marché.
[...] Ces rendements d'échelle peuvent êtres décroissants, constants, ou croissants. Dans ce dernier cas on parle d'économie d'échelle. La situation où les rendements d'échelle sont décroissants s'écrit: F(ΔK;ΔL)1 Cette hypothèse traduit le fait qu'il existe un volume de production limite au de la duquel l'organisation de la production devient moins efficace, l'accroissement de la production finit la modifier l'organisation de l'entreprise, notamment en raison des facteurs fixes comme les locaux, les salariés devenant trop nombreux sur un même site de production finissent par se gêner, ces problèmes organisationnelles rend le processus de production moins efficace d'où la décroissance de rendements d'échelle. [...]
[...] A court terme, on suppose que les entreprises supportent un coût fixe, c'est à dire un cout indépendant des quantités produites et des coûts variables. (essentiellement le facteur travail). Les couts variables sont alors croissants. Quand l'entreprise augmente ses couts de production, le cout fixe est réparti sur une quantité de biens plus importante Le cout fixe moyen décroit avec les quantités produites CFm=CF/Q généralement, on suppose que le premier effet l'emporte dans un premier temps, au de la d'un certain volume de production néanmoins, la hausse du cout variable moyen devient plus importante et le second effet l'emporte. [...]
[...] Cette hypothèse a vocation a illustrer l'arbitrage auquel est confronté le producteur, pour produire une quantité donnée d'un bien donnée en réduisant la quantité utilisé d'un des facteurs, il faut nécessairement utiliser une plus grande quantité de l'autre facteur. (Ce qui suppose la substituabilité des facteurs de production) -Hypothèse de décroissance des rendements marginaux: La productivité marginale est décroissante et positive à ne pas confondre avec la productivité moyenne qui désigne la quantité produite par unité du facteur de production considéré. (Exemple: Y/L ou Les rendements d'échelle désignent les variations des quantités produites résultant d'une variation simultanée et dans les mêmes proportions de l'ensemble des facteurs de production. [...]
[...] A l'équilibre de concurrence parfaire, le prix est égal au cout total moyen de l'entreprise, le profit est donc nul, n néanmoins ce cout intègre la rémunération minimale exigée par l'entrepreneur pour son activité. A l'équilibre du concurrence parfaite, le surplus des offreurs est nul. Contrôle: -question 4 dossier 4 du consommateur -questions dossier VI. [...]
[...] Dans la mesure oeil s'agit pour le producteur rationnel de maximiser son profit, cela implique lorsque l'on raisonne à niveau de production donné, ceci conduit à minimiser le coût de production don que la droite d'isocoût soit située le plus bas possible. La combinaison productive optimale sera donc celle correspondant graphiquement au point de tangence entre une isoquante et la droite d'isocoût le plus bas possible. Nous avons vu que la pente d'une isoquante étant égale au TMST du facteur 2 au facteur 1 c'est à dire au rapport des productivités marginales respectivement des facteurs 1 et nous avons également u que la pente d'isocoût était égal au rapport des prix de facteurs 1 et 2 appelé P1 et P2. [...]
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