Théorie des matrices

Thèmes abordés

Théorie des matrices, matrice McKinsey, matrice BCG, matrice ADL, Bertrand Giboin, La boîte à outils de la Stratégie

Résumé du document

Cette matrice d'aide à la décision (matrice ADL), indique les types d'actions à mener en fonction de la maturité des DAS. Elle est donc complémentaire avec la matrice BCG.
La matrice prend en compte deux facteurs :
- Le niveau de maturité de l'activité ou DAS, qui détermine deux variables : ses besoins financiers et son risque sectoriel.
- Et le niveau de son intensité concurrentielle, qui induit une certaine rentabilité de l'activité et sa position par rapport au risque.

Extraits

[...] ainsi que les atouts de l'entreprise. » Source de l'image : https://www.e-marketing.fr/Thematique/academie-1078/fiche-outils-10154/matrice-McKinsey-307674.htm# [HYPERLINK: https://www.e-marketing.fr/Thematique/academie-1078/fiche-outils-10154/matrice-McKinsey-307674.htm] « Ces critères doivent être évalués (de 1 à et pondérés, afin d'obtenir une note caractérisant l'attractivité de l'activité pour l'entreprise. » L'attrait se calcul à partir de critères comme « la taille du marché, le taux de croissance, le taux de marge sur chiffre d'affaires, la saisonnalité, la structure et l'intensité concurrentielles, le degré de concentration, le degré de dépendance par rapport aux fournisseurs et aux clients, l'existence de barrières à l'entrée, l'intensité capitalistique, les contraintes juridiques, gouvernementales ou écologiques. [...]

[...] » Et enfin la phase de déclin : Il s'agira de « rationaliser l'activité » en diminuant les coûts et en optimisant les marges des produits de la DAS. « Les besoins en liquidités sont limités et une position forte traduit un faible risque concurrentiel », et à l'inverse une position de type faible induira une rentabilité diminuée et l'augmentation du risque concurrentiel. AVANTAGES/INCONVENIENT par rapport à la matrice BCG. Avantages Cette matrice peut paraitre plus simple à comprendre par le dynamisme des phases. [...]

[...] Selon le site : https://www.e-marketing.fr/Thematique/academie-1078/fiche-outils-10154/matrice-ADL-307673.htm Au démarrage : Se focaliser sur une stratégie d'innovation, de manière à acquérir un monopole temporaire. Effectuer les achats de licences nécessaires. Le but est d'agir sur les produits au maximum. Pendant la phase de croissance : L'objectif est de développer l'activité et de pénétrer les nouveaux marchés en agissant sur l'image, la communication et les moyens de distribution pour toucher un maximum de clients, Et en parallèle à cela développer sa capacité de production. [...]

[...] Les risques au niveau sectoriel et concurrentiel sont pris en compte. Inconvénient Cependant la matrice est plus compliquée à construire que la BCG car « plus qualitative et subjective ». En guise de conclusion nous pouvons dire que ces matrices d'aides à la décision sont complémentaires, car apportent chacune des spécificités manquantes aux autres. Et qu'il est important pour les entreprises de mener des études marchés sérieuses et poussés pour prendre les décisions optimales quant à ces matrices. [...]

[...] Elle est donc complémentaire avec la matrice BCG. La matrice prend en compte deux facteurs : Le niveau de maturité de l'activité ou DAS, qui détermine deux variables : ses besoins financiers et son risque sectoriel. Et le niveau de son intensité concurrentielle, qui induit une certaine rentabilité de l'activité et sa position par rapport au risque. Illustration : Source :https://www.e-marketing.fr/Thematique/academie-1078/fiche-outils-10154/matrice-ADL-307673.htm Comme on peut le voir ci-dessus, le graphique se scinde en trois zones bien définies. Le développement naturel : « (position concurrentielle satisfaisante en fonction du degré de maturité) ». [...]