téléphonie mobile, Bouygues Télécom, SFR, opérateurs mobiles, France Télécom
La téléphonie mobile est un moyen de communication qui s'est largement répandu à la fin des années 1990. Elle est due à l'innovation technologique sur les composants électroniques, leur miniaturisation et les nombreuses options technologiques disponibles.
La téléphonie utilisant la norme GSM est apparue en Mars 1992. Le premier opérateur sur le marché de la téléphonie mobile est France Télécom, rejoint par SFR en décembre 1992 et par Bouygues Télécom en mai 1996. L'autorisation ministérielle concernant les deux premiers opérateurs a été délivrée le 25 mars 1991, alors qu'elle a été attribuée le 8 décembre 1994 en ce qui concerne Bouygues Télécom.
Le nombre d'abonnés à la téléphonie mobile a doublé à la fin des années 90. Elle s'est ralentie à partir de 2000 et 2001 avant de se réduire à des taux à un chiffre depuis 2002.
[...] L'analyse du diagramme de Porter 8 Pourquoi la collusion ? 10 Par quels mécanismes ? 11 III/ Quelles conséquences ? 14 Affaire Bouygues 14 Outils Juridiques 15 CONCLUSION 16 BIBLIOGRAPHIE 16 Introduction : La téléphonie mobile est un moyen de communication qui s'est largement répandu à la fin des années 1990. Elle est due à l'innovation technologique sur les composants électronique, leur miniaturisation et les nombreuses options technologiques disponibles. La téléphonie utilisant la norme GSM est apparue en Mars 1992. [...]
[...] Depuis 2000, le téléphone fixe et les > ne constituaient plus des substituts crédibles. Il en était de même pour le téléphone par satellite, comme l'avait démontré l'échec retentissant du programme Iridium de Motorola. La seule menace de substitution venait de la convergence entre la téléphonie mobile, internet et les PDA à l'époque. Après toutes ces analyses de l'industrie, il nous reste à demander comment se comporter les 3 firmes à l'époque dans un tel secteur et dans un tel contexte. [...]
[...] Le chiffre d'affaire de la société Bouygues Telecom s'est élevé à millions d'euros au cours de l'exercice du 31 décembre 2004. En tenant compte du fait que la société est entrée plus tard sur le marché, qu'elle détenait une part de marché bien inférieure à celle de ses concurrents et que sa rentabilité reste significativement en-deçà de celle de ces derniers, il y a eu lieu de la condamner à une sanction de 16 millions d'euros au titre de la pratique d'échange d'informations et de 42 millions d'euros au titre de la pratique d'entente sur les parts de marché. [...]
[...] L'existence du profit positif élevé et de la possibilité de bouleverser le marché dû au développement technologique vont attirer sûrement les nouveaux entrants lorsque la mise en place d'une nouvelle technologie. -Pouvoir de négociation des clients La présence de l'économie de réseau du secteur renforce le pouvoir de négociation des clients par rapport aux firmes. La forte concurrence entre les trois opérateurs et la mise en place des promotions réservées aux nouveaux abonnés réduisent le coût de changement pour les clients. [...]
[...] Selon les arguments de la défense, ces dernières informations n'étaient destinées qu'à permettre d'anticiper les mouvements des marchés financiers. Bien qu'il soit vrai que le nombre de ventes nettes fut régulièrement publiés par l'ART, donc potentiellement accessible par tous, la Cour a dénoncé le caractère anticoncurrentiel des échanges étant donné qu'une large partie des autres données échangées étaient considérées, et le sont toujours d'ailleurs, comme des données confidentielles dont la divulgation reste interdite. En effet, la différence réside dans le fait que les données nettes ne fournissent une information complète puisqu'elles ne précisent pas le nombre de résiliations, élément déterminant dans la mesure il synthétise efficacement l'effort concurrentiel fourni par chacun. [...]
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