Pour commencer, il faut savoir que le football est le sport collectif le plus universel du monde et ce depuis la fin du 20ème siècle. Il faut savoir aussi que le sujet ici traité n'a pas pour but de présenter les transferts de footballeurs ni l'actualité du football en termes sportif, mais plutôt de montrer les interconnections des espaces à une échelle grâce au football. La forte diffusion de ce dernier en fait un exemple idéal pour étudier ces réseaux.
[...] Ils font alors valoir leur capital relationnel accumulé durant leur parcourt pour mettre en relation l'offre et la demande de travail et construire de nouveaux réseaux migratoires que leurs client finissent par emprunter. De cette manière de nombreux footballeurs traversent la manche (France->Angleterre) par l'intermédiaire de monsieur Mc Kay. Autre exemples, la France recrute en Afrique, et au- delà du critère économique, cela s'explique par l'existence de relations privilégiés entre les acteurs situé de part et d'autre de la méditerranée. [...]
[...] Dans ce nouveau contexte réglementaire, pour les Fédérations africaines, le fait de disposer de joueurs à l'étranger, au lieu de constituer un handicap pour la mise en place de sélections nationales performantes, devient un atout. Très rapidement, d'une stratégie endogéniste on passe alors à une stratégie exogéniste Le deuxième processus explicatif est l'affaiblissement progressif des régimes de quotas en Europe. Cet affaiblissement a donné aux clubs européens de plus grandes possibilités de recrutement à l'étranger, ce qui s'est immédiatement traduit par la recherche de nouveaux avantages comparatifs au travers d'une externalisation de la formation, notamment en Amérique latine et en Afrique, où le rapport entre la qualité et le prix des joueurs est particulièrement favorable. [...]
[...] Il faut savoir aussi que le sujet ici traité n'a pas pour but de présenter les transferts de footballeurs ni l'actualité du football en termes sportif, mais plutôt de montrer les interconnections des espace à une échelle grâce au football. La forte diffusion de ce dernier en fait un exemple idéal pour étudier ces réseaux. Mais quels réseaux la migration de footballeurs à-t-elle créée ? Nous verrons alors comment l'Europe est au cœur des réseaux footballistiques et quels sont les facteurs qui expliquent ce phénomène. Ainsi nous pouvons constater une forte hausse de joueurs étrangers en Europe. [...]
[...] Les principaux pays récepteurs demeurent les anciennes puissances coloniales, la France, la Belgique et le Portugal notamment. Les clubs italiens et allemands apparaissent également fortement intéressés par les joueurs africains, tandis que les clubs britanniques n'importent qu'un nombre relativement faible de footballeurs de ce continent. En règle générale, à l'exception du cas britannique11, nous observons une persistance des réseaux hérités de l'histoire coloniale. Ce deuxième type d'impact concerne par ailleurs un nombre bien plus important de personnes par rapport aux acteurs directement impliqués dans les flux de joueurs. [...]
[...] Il veut dire par là que les échanges pays riche/pays pauvre de joueurs sont guidés par d'autres réseaux comme celui de la migration de personne ou d'échange économique De plus, les pays exportateurs de joueurs (Amérique latine ; Afrique ) sont les pays où le rapport qualité/prix est le meilleur. Cela peut s'expliquer par le fait que ce sont des pays pauvres mais qui possède une forte culture footballistique. Mais il existe bien d'autres facteurs comme les facteurs géographique, historique et linguistique. [...]
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