perception sensorielle, stimulus, récepteurs sensoriels, seuil de perception, toucher, ouïe, vue, connecteurs sensoriels
L'observation qui va suivre a été réalisée lors d'une mise en pratique du cours conception et ingénierie des matériaux. Dans le développement qui va suivre, nous allons effectuer des expériences afin de déterminer si notre hypothèse est cohérente et potentiellement valide. Il s'agira de voir si notre seuil de perception est tout le temps le même.
Les échantillons présentés ci-dessous ont été conçus en PLA grâce à l'imprimante 3D disponible dans les locaux de la faculté Papin à Saint Etienne. Ils ont ainsi été conçus dans le but de faire référence au textile-cible vu en cours. Notre sens du toucher est un aspect crucial de la façon dont nous interagissons avec ce qui nous entoure. La perception est donc différente selon les facteurs sensoriels qui nous entourent. Le doigt n'est pas composé des mêmes connecteurs sensoriels selon l'endroit. En effet, la peau joue un rôle capital dans notre relation au toucher, notamment celle du bout des doigts qui est beaucoup plus sensible. Ceci est dû au fait que les extrémités de nos doigts sont composées de petits récepteurs sensibles aux stimuli mécaniques. Ces derniers nous permettent de ressentir, lors de contacts, la douleur, les vibrations et la pression, entre autres.
[...] Enfin, pour ce dernier test, nous avons constaté que l'ouïe influait en effet sur notre ressentis puisque lorsque nous étions en AP, le bruit produit était plus perceptible. Ainsi, notre perception semblait décuplée. Bien que nous ayons tous une perception sensible nuancée, ces différentes expériences nous ont prouvé que le seuil de perception en mouvement en L et en AP sont différents. En plus de cela, nous avons pu observer que les sensations ressenties en AP étaient plus intenses qu'́en et ce lors de chacune des expérimentations. [...]
[...] La perception sensorielle, entre stimulus et récepteurs - Le seuil de perception est-il toujours le même ? L'observation qui va suivre a été réalisée lors d'une mise en pratique du cours conception et ingénierie des matériaux. Dans le développement qui va suivre, nous allons effectuer des expériences afin de déterminer si notre hypothèse est cohérente et potentiellement valide. Il s'agira de voir si notre seuil de perception est tout le temps le même. Les échantillons présentés ci-dessous ont été conçus en PLA grâce à l'imprimante 3D disponible dans les locaux de la faculté Papin à Saint Etienne. [...]
[...] Dans un second temps, nous passons le doigt avec un angle de 45° sur ce dernier, toujours en L et AP. Nous avons observé que les ressentis étaient plus forts à 45° que de manière neutre. Test n°3 - l'ouïe Enfin, nous avons voulu voir si l'ouïe influait dans notre perception des différents échantillons. C'est pourquoi, nous avons effectué des tests avec plus ou moins de pression, et ainsi en faisant plus ou moins de bruit afin de savoir si, in fine, notre sensorialité était plus stimulée. [...]
[...] Ainsi, notre perception sensorielle est la somme de différents facteurs. Malgré tout, nous avons ressenti, l'une comme l'autre, des choses similaires, ce qui rend les résultats encore plus pertinents. Conformément à nos attentes, les diverses manipulations ont été très probantes. Nous pouvons ainsi affirmer que l'extrémité des doigts et plus précisément le bout de la pulpe est vraiment plus sensible aux différentes stimulations que le reste de la main. De plus, lorsqu'il est à la verticale des stries, le toucher est plus sollicité que lorsqu'il est à l'horizontal. [...]
[...] Ce qui nous renvoie à l'hypothèse suivante : le seuil de perception en mouvement latéral et antéropostérieur seraient différents. Le ressenti ne serait pas le même selon les échantillons et selon la façon dont nous passons le doigt, notamment par la vitesse ou la force induite lors des expérimentations sur les échantillons. Nous sommes deux à expérimenter cette hypothèse. Afin de tester l'hypothèse établie, nous avons effectué des mouvements antéropostérieurs, c'est-à-dire de bas en haut de l'échantillon et latéral, c'est-à-dire à l'horizontal. [...]
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