Etude marketing, Analyse externe, marché du chocolat, Maroc, entreprise MAZZ
Le Maroc bénéficie d'une grande stabilité politique basée sur un système de démocratisation continu. C'est dans ce contexte qu'il poursuivit aussi depuis plusieurs années une politique de réformes structurelles et de libéralisation de l'économie. Cette politique a donné le jour à plusieurs conventions régionales et bilatérales de libre échange. Dans un contexte de mondialisation de l'économie et de compétitivité internationale, le Maroc s'est engagé dans un processus de réformes économiques, institutionnelles et réglementaires.
[...] Force est de constater que malgré ces conventions du libre échange signé par le Maroc, les exportations de chocolats et de produits chocolatiers restent quasi inexistantes. Tandis que, les importations du chocolat durant la période 1998-2005 ont connu une croissance des volumes et des valeurs correspondantes. La consommation : La consommation marocaine de chocolat est très faible. En effet, elle ne dépasse pas les 300 à 400 g par an et par personne (120 g en 1998) tandis qu'en Tunisie, les chiffres sont de 3 kg et de 8kg en France. [...]
[...] L'AB2C souffre également de la faiblesse structurelle de la Fondation Nationale de l'Agroalimentaire (FENAGRI) qui n'est pas encore en mesure d'offrir : - Un appui juridique aux associations du secteur; - Des études économiques sur le secteur. L'environnement international : Le secteur de chocolaterie reste dominé au niveau international par les pays européens et nord américains disposant d'un marché solvable important et d'un pouvoir d'achat élevé. Par ailleurs, la deuxième moitié du 20ème siècle a connu la montée en puissance de nouveaux pays émergents (Turquie, Amérique latine, Asie, etc.). Cette croissance a été favorisée par le transfert technologique et l'amélioration du pouvoir d'achat dans ces pays. [...]
[...] Environnement économique : La production : La production de chocolat a connu une progression croissante et un doublement de volume entre 1998 et 2005[1], de1300 à 6000 tonnes. Matières premières : La majeure partie des matières premières utilisées pour la fabrication du chocolat est importée par le Maroc, exception faite du sucre et de quelques ingrédients de faible importance. Par conséquent, la part des matières premières dans le prix de revient avoisine les 65-70%. Les exportations et les importations Pour une meilleure insertion dans le commerce international, le Maroc a signé plusieurs accords de libre échange régionaux et bilatéraux à savoir : L'accord de la grande zone de libre échange arabe signé dans le cadre de la ligue arabe ratifié en 1993 et en vigueur depuis 1998. [...]
[...] Les échanges commerciaux sont principalement réalisés entre les pays les plus développés étant donné que les échanges avec les autres pays sont pour la plupart faibles car : Les prix élevés des produits constituent une limite aux exportations vers ces pays. La qualité moyenne des produits des pays émergents freinent les importations vers les pays les plus développés. Tableau récapitulatif des opportunités et des menaces : ISCAE Casablanca 2013-2014 Analyse externe Initiation au marketing Hamza TUIBI Hamza MALAL Hatim RAJA II- La concurence a. Les concurrents étrangers : b. [...]
[...] Nombre de mariages : Selon les déclarations de Mme Nouzha SKALLI, ministre de la Famille et de la Solidarité, le nombre des mariages au Maroc a augmenté de 19,29% passant de 263.553 en 2003 à 314.400 en 2009. Environnement technologique : A l'image des entreprises agroalimentaires, les entreprises du secteur chocolaterie sont fortement dépendantes des importations pour une grande partie de leurs intrants. Ces importations concernent aussi bien les matériaux d'emballages et le conditionnement que les matières premières et la technologique. [...]
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