Ce sont des caractéristiques ou attributs détenus par un produit ou une marque et qui lui donnent une certaine supériorité sur ses concurrents immédiats.
Il existe deux types d'avantage : l'avantage concurrentiel externe qui réside dans la création de valeur du produit aux yeux du consommateur ou dans la baisse des coûts d'utilisation du produit (diesel/essence) ; ainsi le consommateur sera prêt à payer un prix supérieur (pouvoir de marché). On parlera alors de stratégie de différenciation.
L'avantage concurrentiel interne, quant à lui réside sur une supériorité de maîtrise des coûts (meilleure productivité). On parlera de stratégie de domination par les coûts (...)
[...] Toujours dans cette optique d'analyse concurrentielle, on voit apparaître des services spéciaux qui s'occupent uniquement de la concurrence comme chez IBM, Texas Instrument . Ce sont des systèmes de surveillance de la concurrence. Le modèle de la concurrence monopolistique ou imparfaite se caractérise par un fort nombre de concurrents mais dont les produits sont différenciés. Il y a donc eu dans ce modèle une forte différenciation qui a pour but de donner aux entreprises un pouvoir de marché en raison des préférences et de la fidélité des clients ainsi que de la plus faible sensibilité aux prix qui en résulte. [...]
[...] Une mesure de cette sensibilité est donnée par l'élasticité prix de la demande à l'entreprise pour le produit différencié. Plus faible est l'élasticité de la demande et plus faible sera la volatilité ou la sensibilité de la part de marché à une augmentation de prix du produit. On peut identifier 4 axes de différenciation : Novateur, Accélérateur, Simplificateur, Améliorateur. Comme autre outil on peut utiliser la chaîne de valeur qui a pour objectif d'identifier les facteurs d'unicité dans chaque activité, c'est-à-dire les variables et/ou les actions que l'entreprise peut contrôler pour offrir quelque chose d'unique qui la différencie de ses concurrents et qui constitue une valeur pour l'acheteur. [...]
[...] Dans ce modèle les produits sont totalement indifférenciés. Alors comment sortir de cet anonymat de la concurrence par les prix ? Premièrement il faut utiliser la notion de panier d'attributs (améliorer les services attachés au produit) ou utiliser les concepts de comportement du consommateur en effectuant une segmentation plus fine afin de découvrir des opportunités permettant de se démarquer des autres. types d'acheteurs : les irréductibles, les occasionnels, les exigeants (bon segment)). Le modèle de l'oligopole est une situation où la dépendance entre les firmes rivales est très forte du fait du nombre réduit de concurrents ; il y a concentration. [...]
[...] Tous ces facteurs permettent d'améliorer la productivité qui a pour objectif de produire à un coût moindre. Il est ici important de différencier les termes d'économie d'échelle qui résultent de la taille même d'une activité et d'effet d'expérience qui se manifeste dans le temps. De plus les économies d'échelle sont toujours présentes et involontaires (diviser les coûts fixe par un nombre croissant d'unité) alors que l'effet d'expérience est recherché et acquis avec effort. Formulation de la loi d'expérience : L'impact des effets d'expérience pour une entreprise dépend de sa pente d'expérience (voir les causes) mais aussi de la vitesse de doublement de sa production. [...]
[...] Le pouvoir de négociation des fournisseurs vis à vis du client (ex pétrole) (partie symétrique à la celle ci-dessus). Il est noté que la main d'œuvre fait partie de cette force à travers les syndicats 3. L'analyse des situations concurrentielles Le modèle de la concurrence pure ou parfaite se caractérise par un grand nombre de vendeurs et un grand nombre d'acheteurs sur un marché. Le prix se fixe par le jeu de l'offre et de la demande, il n'y a pas de pouvoir de marché (ex MP alimentaire : commodities). [...]
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