Les outils d'aide à la décision stratégique fournissent une base à partir de laquelle peut s'élaborer une décision stratégique. Les premiers outils d'aide à la décision stratégique sont apparus dans les années 1960 aux États-Unis. Les outils et grilles d'analyse ont évolué grâce aux améliorations apportées par les chercheurs en stratégie (notamment Igor Ansoff, Michael Porter, Henry Mintzberg, Jay Barney ou W. Chan Kim et Renée Mauborgne), ainsi que par les cabinets de consultants du type Boston Consulting Group, McKinsey & Company ou Arthur D. Little (...)
[...] Un autre élément rentre en compte dans la lecture et la réalisation de cette matrice : C'est la grandeur du cercle qui représente le produit est une mesure du chiffre d'affaires il est plus ou moins gros. Conclusion : La matrice BCG est un principe clair, efficace permettant de comprendre dans quel sens évolue un produit. Il sert également à étudier et à comprendre le marché actuel, en vue de connaître les risques et les opportunités du marché. Elle permet de classifier et évaluer des produits. Toutefois, la matrice BCG a aussi des contraintes et est coûteuse, complexe et longue à mettre en place. [...]
[...] Chan Kim et Renée Mauborgne), ainsi que par les cabinets de consultants du type Boston Consulting Group, McKinsey & Company ou Arthur D. Little. La matrice BCG : Historique BCG signifie en anglais Boston Consulting Group. A la fin des années 1960, cette matrice est une matrice d'allocation de ressources au sein d'un portefeuille d'activités. Il s'agit donc d'un outil stratégique utilisé par extension en marketing pour évaluer le portefeuille de produits de l'entreprise, mais ce n'est pas sa fonction initiale. [...]
[...] Par conséquent c'était un dilemme. Le graphique La forme générale du graphique ce présente comme ci-dessous. Il y a deux grands axes : parts de marché qui permet de situer le produit par rapport à la concurrence. Il s'évalue du fort au faible, le fort étant à gauche et le faible à droite. Croissance du marché permet d'évaluer le marché, c'est- à-dire de connaître si c'est un marché en évolution ou en déclin. Il s'évalue du fort au faible, le fort étant en haut et le faible en bas. [...]
[...] Malheureusement l'entreprise après transformation s'est avérée très difficile à gérer et a connu des résultats chaotiques. Le nouveau responsable a donc supprimé l'unité de planification stratégique centralisée et a confié aux managers de chaque secteur d'activité ses fonctions. III) Le graphique de la matrice BCG Les principes et analyses de la matrice L'analyse part du principe que la croissance significative du marché correspond à une croissance des dépenses dues aux investissements et une grande part relative du marché s'accompagne de bénéfices plus importants. [...]
[...] L'entreprise va pouvoir utiliser les cash flows générés par ce DAS pour financer le développement d'une autre activité. II) Les limites de la matrice BCG La matrice BCG a révolutionné la planification stratégique. Des approches centralisées présentent certaines limites : - leur mise en place peut être longue - complexe - coûteuse. Il peut être difficile de définir les domaines d'activité stratégiques et de mesurer la croissance et la part de marché qu'ils occupent. De plus, la définition entre les différentes catégories est souvent délicate et peut dépendre du contexte macroéconomique. [...]
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