Abercrombie & Fitch a été créé en 1904 aux Etats-Unis, par David Abercrombie et Ezra Fitch. Au commence, la marque vendait des vêtements pour la randonné, ainsi que pour la chasse et la pêche. Mais en plus d'un siècle d'histoire, ponctué de rachat à plusieurs reprises, l'entreprise n'a jamais changé de corps de métier. Mais a connu des stratégies aussi diverses que variées, qu'ont été ses propriétaires. Cela dit, l'entreprise semble avoir trouvé une formule qui marche avec notamment l'arrivée à sa tête de Mike Jeffries, depuis 1992. Cependant, la stratégie employée commence à faire débat et la marque à l'élan se questionne sur ses axes de développements potentiels dans le futur. C'est ce à quoi nous tâcherons de répondre dans notre analyse qui suit.
[...] Donc ils existent d'autres méthodes de ventes. Cela montre encore une fois que les capacités spécifiques d'Abercrombie & Fitch ne remplissent pas toutes les conditions du modèle VRIN et par conséquent ne sont pas vraiment des avantages concurrentiels en tout cas à long, voire moyen terme. Conclusion Abercrombie a basé toute sa stratégie sur l'expérience lié à la vente et cela a permis aux consommateurs d'avoir l'impression de vivre quelque chose d'unique, lors de ses visites dans les magasins de la marque et de faire partie d'une sorte d'élite, de gens privilégiés. [...]
[...] Au commence, la marque vendait des vêtements pour la randonné, ainsi que pour la chasse et la pêche. Mais en plus d'un siècle d'histoire, ponctué de rachat à plusieurs reprises, l'entreprise n'a jamais changé de corps de métier. Mais a connu des stratégies aussi diverses que variées, qu'ont été ses propriétaires. Cela dit, l'entreprise semble avoir trouvé une formule qui marche avec notamment l'arrivée à sa tête de Mike Jeffries, depuis 1992. Cependant, la stratégie employée commence à faire débat et la marque à l'élan se questionne sur ses axes de développements potentiels dans le futur. [...]
[...] On ne peut cependant pas dire que le rôle des pouvoirs publics constitue une réelle menace pour les entreprises présentes sur ce marché. L'état a cependant un impact positif sur le marché du haut de gamme. En effet, le législateur peut avoir un rôle de protection de l'image de marque en luttant contre la contrefaçon. Cet effet de protection est négligeable sur le marché de moyenne gamme, les produits standards n'étant que peu imités. Intensité concurrentielle Sur le marché du prêt-à-porter, la concurrence est extrêmement forte. [...]
[...] Mais encore une fois la question est de savoir si les concurrents sont prêts à mettre en jeu leurs images de marques pour imiter Abercrombie and Fitch. Donc, encore une fois, sur ce point-là l'entreprise n'est pas à l'abri, mais l'image de marque des grands groupes devrait lui permettrais de ne pas être inquiété dans un laps de temps allant du cours terme au moyen terme. D'autant plus que cela demanderai un effort financier important pour une marque comme Ralph Lauren de transformer tous ses points de vente afin de faire du marketing sensoriel comme le fait A&F. [...]
[...] En effet, les vêtements sont des biens de première nécessité et rien ne peut les remplacer. En revanche, si on considère le marché du haut de gamme en matière de vêtement, on s'aperçoit que les segments inférieurs du marché représentent une alternative aux produits plus luxueux. Il y a donc une menace venant de l'intérieur même du marché. D'autant plus que les produits placés sur le segment du luxe ou haut de gamme ne sont plus de produits de premières nécessités, mais des produits de luxes. [...]
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