Dans un contexte de mondialisation, l'internationalisation d'une entreprise est une étape importante dans le processus de développement de cette dernière. L'entreprise peut alors choisir soit d'implanter une filiale de l'entreprise sur le territoire concerné (unité de production par exemple, on parle alors de délocalisation) soit de proposer une offre pour le pays concerné (ouverture de magasins par exemple). L'entreprise peut également s'implanter en rachetant une entreprise sur place. Chaque entreprise adopte alors une stratégie qui lui est spécifique que ce soit dans le choix de la manière de s'implanter que dans le choix du pays d'implantation (...)
[...] Reinold Geiger actuel PDG de l'entreprise depuis 1995 est à l'origine de la politique d'internationalisation menée par la marque. Ce succès à l'international (on s'intéresse ici particulièrement au succès en Asie) s'explique grâce à plusieurs points : Une marque en développement constant : En effet, la marque recherche toujours de nouveaux produits et en lance régulièrement. De plus, elle réaménage régulièrement ses best-sellers et met en place des coffrets cadeaux événementiels et des extensions de gamme. De plus, l'entreprise a pour avantage de vendre des produits où la demande est en expansion : les produits naturels et biologiques. [...]
[...] Les baby-boomers japonais arrivent à la soixantaine et selon le Rapport annuel sur la société vieillissante publié par le Cabinet Office japonais en 2007, cette génération aura un impact conséquent sur la consommation à l'avenir. Ceci est principalement du à leur poids démographique important (elle représente environ 6,9 millions de personnes) mais aussi et surtout à leur pouvoir financier conséquent. Un retraité moyen perçoit pour son départ à la retraite une somme de dollars d'indemnités. Ce montant va représenter un pouvoir d'achat total des retraités de 658 milliards de dollars entre 2006 et 2010. De plus, d'ici à 2015, les séniors seront à l'origine du quart des dépenses du Japon. [...]
[...] De plus, la main d'œuvre est en Inde très respectueuse de la hiérarchie. Des efforts et des perspectives pour les infrastructures : En Inde, la majorité des infrastructures sont à reconstruire ou à moderniser. Plus de 100000 déchets sont générés par jour (entreposés dans des décharges non contrôlées), les indiens n'ont accès à l'eau que pendant 4h par jour et le réseau représente 60% de fuite. Il existe 3 millions de kilomètres de routes mais 2,7 millions de celles-ci sont difficilement praticables. [...]
[...] L'enseignement supérieur est également un marché porteur. En effet, la plupart des chinois sont peu qualifiés et donc en matière de formation tout reste à faire. Le secteur de la haute technologie est également intéressant dans le sens où il est peu développé et encouragé par l'Etat avec un taux d'imposition préférentiel de 15%. Des secteurs comme la distribution, l'architecture, la décoration et l'art de vivre ou encore l'hôtellerie et le tourisme sont également très intéressants pour les entreprises. Si ces différents marchés sont aujourd'hui porteurs c'est grâce à l'expansion de la classe moyenne chinoise. [...]
[...] Ceci facilite alors la communication interne et externe des entreprises. Mais c'est aussi un marché porteur avec la possibilité pour des entreprises étrangères de développer des procédés comme la transaction électronique ou encore les appareils mobiles de poche. Enfin, depuis les années 90 le marché de l'environnement connait une réelle expansion, ceci s'explique en partie grâce aux initiatives du gouvernement. Les entreprises pratiquant une gestion environnementale se multiplient. Au niveau de l'offre pouvant être fait aux consommateurs, celle-ci est de plus en plus diversifiée (rénovation et amélioration de l'habitat, économie et gestion de l'énergie, matériaux recyclables, production d'équipements contre le pollution de l'air ou encore traitement des déchets). [...]
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