En 1980, Renault est la première marque automobile en Europe. Sa production dépasse le cap des 2 millions de véhicules (camions compris). Plus de la moitié sont exportés. 800 000 voitures sont montées hors de France, dont plus des trois-quarts en Espagne, Belgique et Argentine. Le chiffre d'affaires du groupe est en progression constante mais les bénéfices chutent. Pourtant on continu d'innover et de lancer de nouveaux produits. En 1984, Renault affiche le pire déficit de son histoire : 12,5 milliards de francs. Afin de remettre en ordre la situation économique Georges Besse mettra fin à la politique de diversification employer depuis des années et licenciera environ 20 000 postes. Georges Besse fut assassiner et donc n'a pas pu continuer a diminuer la dettes de Renault (...)
[...] En 1902 le premier moteur Renault : le 24 CV 4 cylindres sort et est breveter le premier turbo par Louis Renault. En 1903, Marcel meurt dans une course de voiture et laisse donc Fernand à la tête de l'entreprise familiale. A la même époque des filiales à l'étranger vont être développer - Angleterre, Belgique, Italie, Allemagne, Espagne, Etats-Unis, et Renault va devenir un des premiers fournisseur de taxi avec une commande 250 taxis, ce qui est un pas décisif vers l'industrialisation, un taxi sur deux sera un Renault à ce moment. [...]
[...] Ainsi, on dénombre 15 usines Renault en France, pour la plupart situées dans le Nord. Il y a 4 usines en Espagne, une au Portugal et une en Slovénie. Ajoutons également à l'Europe une usine Dacia en Roumanie et une autre à Moscou et en Turquie. Dans le reste du monde, Renault est particulièrement bien implanté en Amérique latine et centrale avec une usine au Mexique, en Colombie, au Brésil, au Chili et une autre en Argentine. Enfin on trouve une usine au Maroc, en Iran, en Inde, en Malaisie et une dernière en Corée du Sud. [...]
[...] Ex : Renault : alliance avec Nissan et Dacia. - les concurrents européens directs des constructeurs français sont les Allemands mais par rapport à PSA Peugeot Citroën et Renault, leurs nombres et leurs ventes de véhicules en Europe sont supérieures De plus, nous savons que la concurrence interne sur ce marché est forte des faits de : - la course à l'innovation technologique ; - la tendance permanente de long terme à la réduction des coûts ; - la sensibilité à la conjoncture. [...]
[...] Lancé en 2001, la production de ce modèle s'est terminée en mai 2003. Les producteurs sur le marché : la concurrence et la société La concurrence combien de concurrents se partagent le marché principal, part de marché de chacun, taille des concurrents directs, tendance d'évolution, chiffres d'affaires, marges, investissement en recherche et développement, objectifs stratégiques, y-a-t-il un leader, quels sont les traits saillants et la stratégie marketing en matière de positionnement, gamme prix, distribution, communication. DES FACTEURS DE COMPÉTITIVITÉ DE L'INDUSTRIE AUTOMOBILE FRANÇAISE Dans un marché mondial très concurrentiel, les constructeurs français d'automobiles doivent être compétitifs et donc faire face à des facteurs comme le haut niveau de l'euro qui a gêné les exportateurs français depuis 2002 ou comme l'ouverture du marché socle qui peut représenter une contrainte supplémentaire dans le développement international. [...]
[...] Il est le dixième constructeur automobile mondial. La production des constructeurs français a représenté de la production automobile mondiale, soit moins que le plus haut atteint en 2001 avec mais nettement plus que les de 1997. NEUVIÈME ANNÉE CONSÉCUTIVE DE CROISSANCE POUR LA CONSTRUCTION AUTOMOBILE FRANÇAISE En 2005, le développement des constructeurs français d'automobiles s'est poursuivi : leur production a légèrement augmenté 0,4 à plus de 6 millions de véhicules. La hausse par rapport à 1997 est très importante : en huit ans, elle s'élève à soit 2 millions de véhicules en plus. [...]
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