La Fédération française de Football et son sélectionneur, Raymond Domenech n'ont pas qu'un rôle sportif à jouer. Ils sont effet les garants de l'image même de l'équipe de France et de l'image d'une nation dans son ensemble au travers des valeurs qu'inculque le sport. Depuis que l'actuel sélectionneur de l'Equipe de France est en poste, l'image de cette dernière n'a cessé de régresser et le désamour entre l'entité sportive et son public qu'accroître. Cela met en lumière l'importance même de cette entité d'agir non pas seulement en tant qu'équipe de sport, mais aussi en tant que marque, et donc promouvoir à tout moment son contenu, ses valeurs, etc. Comment ainsi le travail même de la FFF et de Raymond Domenech, aussi paradoxal que cela puisse paraître, va se jouer tout autant sur le résultat sportif, essence même de la « bonne tenue » d'une équipe mais surtout sur sa capacité à savoir communiquer sur la marque, le produit Equipe de France ?
Problématique : dans quelle mesure la communication qui va être faite sur et autour de l'Equipe de France par la FFF et son sélectionneur sont impactantes sur le bon fonctionnement de son équipe et la perception que le public peut en avoir, parfois même au détriment des résultats purement sportifs ?
[...] De ce fait, on remarque bien l'importance qu'a la fédération de bien communiquer, et véhiculer de bons messages. Cette campagne, s'est totalement déviée de son objectif de base qui était d'encourager les français à soutenir l'EDF. Au contraire, plutôt que de séduire, le slogan aura énervé les français. On peut donc dire que cette campagne aura eu l'effet inverse de ce qui été recherché. Après un mondial réussi en 2006, Raymond Domenech, sous contrat avec la FFF en tant que sélectionneur de l'Equipe de France pendant quatre ans a donc aussi participé à l'Euro 2008 mais cette fois ci, ce fut une catastrophe. [...]
[...] Ainsi, devenir annonceur de l'EDF est une opération à double tranchant. Il convient tout de même de rappeler qu'il existe bien un paradoxe, du fait que les annonceurs se foutent totalement des valeurs de cœur de l'EDF, avec leurs slogans de type on est derrière les bleus La vérité se trouve dans le fait que le jour où les bleus auront touché le fond, et leur image sera moins bonne, les annonceurs se feront beaucoup plus rares et fuiront le produit. [...]
[...] Montrer que l'ambiance entre les joueurs au sein de l'EDF est bonne, que le staff technique et sportif qui l'encadre est de qualité. Pour être sûr d'attirer la chaîne, et faire en sorte de négocier le contrat le plus gros possible, on remarque bien cette nécessité d'une bonne communication. Une fois que TF1 c'est acquittée des droits TV, elle a la possibilité d'amoindrir ses coûts, en proposant à d'autres chaînes de racheter certains matchs. Le PDG de TF1 Nonce Paolini s'est dit prêt à éventuellement négocier une partie des droits Ainsi, TF1 a contacté M6, Orange, Canal+ et France Télévision. [...]
[...] Depuis que l'actuel sélectionneur de l'Equipe de France est en poste, l'image de cette dernière n'a cessé de régresser et le désamour entre l'entité sportive et son public qu'accroître. En effet, depuis sa nomination à la tête de l'EDF en 2004, Raymond Domenech suscite l'incompréhension auprès des médias et du public Français. Cela met en lumière l'importance même de cette entité d'agir non pas seulement en tant qu'équipe de sport mais aussi en tant que marque, et donc promouvoir à tout moment son contenu, ses valeurs etc. [...]
[...] Les deux chaînes ont refusé de s'embarquer dans une course aux droits TV. TF1 a jugé l'appel d'offre beaucoup trop élevé, et incertain au vu des résultats sportifs de l'EDF, et de sa cote de popularité en légère baisse. Dans l'hypothèse d'un mondial décevant, et d'une élimination prématurée des français, il est certain que le climat qui planera autour de l'EDF ne sera pas bon. Il y aura un changement d'entraineur, un remaniement de l'équipe, et une sélection de nouveaux joueurs. [...]
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