Les 3 domaines d'actions :
1- Répartition des activités commerciales entre centre-ville et périphérie :
Le but est de rééquilibrer les activités commerciales.
De plus, il y a un manque de population en centre-ville (loyer trop cher, population relativement âgée....).
En périphérie, on constate un développement des grandes surfaces et immigrations.
Entre ville et périphérie, il y a un déséquilibre des classes d'âges. En effet, en ville, on retrouve beaucoup de personnes âgées, car elles recherchent la proximité.
2- Préserver la présence d'activités commerciales en centre-ville :
Les commerces basiques (boucher, boulanger...), c'est-à-dire de première nécessité, disparaissent des centres-villes, faisant place aux commerces de services (téléphonie, banques, immobilier, bureautique...).
Pour préserver l'activité commerciale pour l'avenir, il faut remettre en valeur l'histoire et l'origine des villes, en rénovant les bâtiments, en créant des activités touristiques et des restaurants traditionnels... pour refaire revivre la nostalgie du passé et des traditions.
- Recréer la situation des centres villes d'autrefois : rues piétonnières...
[...] L'évolution du marchandisage :
Pendant 50 ans, c'est le marchandisage de masse : marchandisage visuel. (Tête de gondole, facing, rayons larges...). En effet, c'est l'augmentation du pouvoir d'achats pendant les « 30 Glorieuses » et donc, on utilise la présentation de masse.
Puis dans la décennie 70, des difficultés économiques apparaissent et les besoins ont diminué, car les ménages se sont équipés quelques années plus tôt. Il y a une baisse du pouvoir d'achats.
De plus, il y a plus d'informations, donc les consommateurs sont avertis et ils sont plus exigeants : qualité, sécurité... ils veulent des services attachés au produit.
De la décennie 80 à aujourd'hui, le marchandisage est modifié. Les distributeurs doivent revoir leur marchandisage. La fréquentation des magasins baisse, car il y a un développement des loisirs (alors qu'avant c'était un lieu de promenade). Il faut donc un marchandisage de services avec une assistance humaine (accueil, etc.) pour le consommateur, arrêtant ainsi le phénomène de masse. Les produits sont rangés par
univers. (...)
[...] Les distributeurs doivent revoir leur marchandisage. La fréquentation des magasins baisse, car il y a un développement des loisirs (alors qu'avant c'était un lieu de promenade). Il faut donc un marchandisage de services avec une assistance humaine (accueil, etc.) pour le consommateur, arrêtant ainsi le phénomène de masse. Les produits sont rangés par univers IV- L'organisation distributeur : Il y a 6 étapes : du marchandisage p ar un Les objectifs à définir : L'étude de l'environnement : Plusieurs études sont faites sur différents facteurs : évolution du marché, la concurrence, étude des produits, les besoins des consommateurs, le budget Préparation du plan d'actions : Il faut étudier : Les variables marketing L'assortiment du magasin Les prix Aménagement du plan d'actions : Structuration de l'aménagement du magasin L'implantation organisée des univers Définir le linéaire (agencement), dont l'objectif est de rentabiliser le (ou de linéaire. [...]
[...] Ils ont moins de succès qu'avant (80/90). Parcs d'activités commerciales : Ils regroupent des grandes et moyennes surfaces, indépendants ou pas, situés aux portes de la ville. (ex : zone commerciale de Trélissac/Boulazac) La politique commerciale des distributeurs Chapitre 3 Le marchandisage Définition du marchandisage : Ce terme est arrivé avec le libre service, vers les années 60. La définition de l'Institut Français du Marchandisage (IFM) : C'est l'ensemble des études et techniques d'applications, mises en œuvres séparément ou conjointement par les distributeurs et les producteurs, en vue d'accroître la rentabilité du point de vente et l'écoulement des produits par une adaptation permanente de l'assortiment aux besoins du marché et par la présentation appropriée des marchandises. [...]
[...] Pour sécuriser les consommateurs et les rassurer (des normes aux niveaux des produits, mais également dans l'agencement des magasins) Les textes législatifs : 1961 : La circulaire Fontanet qui définit la notion d'urbanisme commercial 1973 : La loi Royer car déséquilibre des tailles des magasins (grands, moyens, petits) 1989 : La loi Doubin 1992 : La loi Sapin 1996 : La loi Raffarin 1997 : La loi Galland Toutes ces lois ont pour objectif d'équilibrer les activités entre les différents commerces. IV- Quelles sont magasin ? le s solutions d'implantation d'un 1. Quatre axes de développements : L'internationalisation Diversification horizontale Rachat des concurrents (pour s'agrandir ) Exemple : Auchan en 1989 rachète les Doc de France L'amélioration des outils de gestion existantes pour faire des économies 2. [...]
[...] (Tête de gondole, facing, rayons larges En effet, c'est l'augmentation du pouvoir d'achats pendant les 30 Glorieuses et donc, on utilise la présentation de masse. Puis dans la décennie 70, des difficultés économiques apparaissent et les besoins ont diminué, car les ménages se sont équipés quelques années plus tôt. Il y a une baisse du pouvoir d'achats. De plus, il y a plus d'informations, donc les consommateurs sont avertis et ils sont plus exigeants : qualité, sécurité ils veulent des services attachés au produit. De la décennie 80 à aujourd'hui, le marchandisage est modifié. [...]
[...] Les actions des commerçants : Les commerçants se sont réunis en associations. En effet, depuis 50 ans, les associations augmentent. Les objectifs des associations commerçantes sont : Défendre leurs intérêts Maintenir l'équilibre des commerces Hors, ces associations sont inefficaces, car : Manque de temps pour assister aux réunions et faire des actions Manque de moyens financiers Déséquilibre entre les commerçants (pas le même rapport de force) Les actions menées aux niveaux des campagnes : Ces actions sont arrivées tard c'est dans les années 80 que l'on constate une désertification des campagnes. [...]
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