Le dimanche 4 décembre 2011, Florence Foresti et Jamel Debbouze sont présents sur le plateau du journal télévisé de 20h sur TF1. Tous deux sont présents dans le cadre de la promotion du film Hollywood dont la sortie est prévue le mercredi suivant. L'interview réalisée par Claire Chazal dure quelques minutes après la diffusion d'un reportage positif au sujet du film. Tout se déroule très bien, le film est présenté comme drôle, bon, amusant. Ce soir-là, ce que je ne savais pas et ce que la majorité des spectateurs ne savaient certainement pas, c'est que TF1 est producteur du film en question.
[...] Il en ressort que la présence discrète ou non du marketing d'un film ne forcera jamais le spectateur à se déplacer, lui seul est maître de ses décisions En marketing du cinéma, le film et sa stratégie de communication ne sont ils qu'un petit arrangement entre amis ? Partie 3 MODELE D'ANALYSE Proposition d'Analyse Les médias Théorie de la Présence de Florence Foresti et Jamel Debouze au informent le cascade JT de TF1 le 04/12/2011 pour la promotion du film spectateur sur les Informationnell Hollywoo, la chaîne fait partie des producteurs du sorties e stratégique film. [...]
[...] L'investissement en Loi du souvenir communication pour publicitaire la sortie d'un film d'Armand n'est pas en Morgensztern corrélation avec la capacité du spectateur à mémoriser ce qu'il perçoit. La bande annonce dans les salles de cinéma est un passage qui semble évident pour promouvoir la sortie d'une film cependant il arrive en troisème position des investissements réalisés Les investissements réalisés sur les autres supports sont les suivants : L'affichage = des achats d'espaces La radio = 12,2% La presse = 19% Internet = montant des achats passé de 2 à 20 millions d'euros entre 2004 et 2005 = 10% Le taux de mémorisation atteint pour : Le Cinéma : 75% des spectateurs Internet : 11% La presse magazine : 10% L'affichage (4x3) : La radio : Il semble y avoir une anomalie entre le niveau d'investissement et le taux de mémorisation de l'affichage. [...]
[...] Le marketing du cinéma c'est le marketing du film, le marketing des salles, des acteurs du secteur qui se répondent, qui ont chacun leurs intérêts mais aussi et surement des intérêts communs. TF1 étant producteur du film Hollywoo, la chaine a investi de l'argent elle espère donc un retour sur investissement. Lors de la promotion du film elle a donc intérêt à faire une critique positive pour pousser les spectateurs à se déplacer dans les salles de cinéma. L'artiste, la culture se présente comme une offre qui provient de l'âme de l'artiste sans avoir sondé le consommateur à l'avance. [...]
[...] Année Universitaire 2012 2013 En marketing du cinéma, le film et sa stratégie de communication ne sont ils qu'un petit arrangement entre amis ? Le thésaurus est centré sur les mots clés suivants : Marketing du cinéma Film Spectateur Communication Distribution Salle Les mots clés définis sont les suivants : Film Salles Distribution Spectateur En Partie 2 vous trouverez l'ensemble des évènements singuliers suivants : La critique peut être stratégique selon l'intérêt des médias (Assertion) La communication autour d'un film est un investissement stratégique en terme de mémorisation (Anomalie) Le marketing du film tend vers un marketing traditionnel plutôt qu'un marketing de l'offre (Paradoxe) Seules les années de gros succès 20% des films réalisent 80% des entrées (Anomalie) Le spectateur reste le seule décider de se rendre ou non dans une salle de cinéma malgré la présence d'un marketing plus ou moins flagrant (Anomalie) Notre modèle d'analyse réside dans les théories suivantes : Théorie de la cascade Informationnelle stratégique Théorie de la filière inversée de Galbraith Loi du souvenir publicitaire d'Armand Morgensztern Théorie de l'Art pour l'Art de Théophile Gautier La question soulevée est la suivante : En marketing du cinéma, le film et sa stratégie de communication ne sont ils pas qu' un petit arrangement entre amis ? [...]
[...] Tous les films qui sortent en salle chaque année ont une stratégie différente, adaptée notamment à leur budget. Certains frappent forts en communication, d'autres beaucoup moins ou mises sur des moyens dont le coût est moindre. Un film comme Intouchables doit son succès en grande partie au bouche à oreille positif, Avatar a misé sur une toute nouvelle technologie (la 3D). Attention, gros budget ne signifie pas succès. Un film comme Astérix et Obélix aux Jeux Olympiques véritable produit marketé n'a pas fonctionné assez pour être rentable. [...]
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