Commerce mondial, production internationalisée, PIB Produit Intérieur Brut, droits de douane, modernisation des moyens de transport, autosuffisance, autoproduction, commerce interbranche, David Ricardo
Pour commencer, le commerce international renvoie à la totalité des échanges de produits et de services entre les différentes économies. Pour le mesurer, on va ajouter l'ensemble des exportations de toutes les économies et on obtient la valeur du total mondial d'exportations.
Pour la production internationalisée, il s'agit du découpage et de la mécanique de production des biens et services sur plusieurs pays avec la participation de plusieurs firmes pour contribuer au processus de production.
Le commerce mondial a connu une expansion sans précédent depuis les années 1970, car il a été décuplé en valeur.
[...] Ensuite, ce type de commerce a évolué avec la démocratisation de la chaîne de valeur sur plusieurs pays avec une production segmentée. Bien que les étapes successives soient faisables dans un seul pays, les firmes décident délibérément de fragmenter leur supply chain pour créer et maximiser la valeur sur chaque partie de la production. En outre, la multiplicité des canaux d'échange permet de bénéficier plus vite des biens et de pouvoir en faire commerce. II. Les causes à l'origine de l'internationalisation de la production Cette stratégie découle du constat que produire séparément à différents endroits permet de bénéficier de gains de productivité, d'être plus compétitifs et de contrôler au mieux chaque étape du processus. [...]
[...] Selon lui, les échanges reposent sur la notion d'avantage comparatif. Les pays vont chercher la spécialisation dans la production pour laquelle ils estiment être plus ou moins efficaces, en fonction de l'écart de productivité le plus réduit avec les autres concurrents. Un autre facteur important est la dotation initiale en facteurs de production : soit la force de travail (population), soit le capital (technologie). La dotation factorielle offre également une perspective quand un pays dispose d'une main d'œuvre abondante plutôt qu'un capital technologique intéressant. [...]
[...] Les bases et principes du commerce international Il existe plusieurs raisons qui expliquent et légitiment les échanges entre les différents pays plutôt que l'autosuffisance et l'autoproduction en format autarcique. Pour cela, notre étude va débuter par les échanges de biens différents avant de revenir sur des produits similaires. Dans le premier cas, on parle de commerce interbranche tandis que dans le second, il s'agit de commerce intra-branche. Ainsi, les pays ont tout d'abord commencé à se spécialiser en fonction de leur dotation en facteurs (travail ou capital). [...]
[...] Cet écart de croissance entre les deux indicateurs témoigne de la multiplicité des échanges pour des biens et services produits une seule fois. Cette fragmentation du processus de production est principalement permise par les accords de réduction des droits de douane ainsi que de la modernisation des moyens de transport qui se déplacent plus rapidement et pour moins cher qu'avant. Par conséquent, en tant que consommateur, notre dépendance à l'égard des productions étrangères est forte à cause de l'internationalisation des échanges. [...]
[...] Ce sont dans les pays les plus avancés que les entreprises vont trouver les infrastructures, personnel et technologie adéquates. Ces firmes disposent d'au moins une filiale de vente ou de production hors de son sol. Elles intègrent cette catégorie lorsqu'elles investissent sur le sol étranger, on parle d'investissement direct à l'étranger quand cela dépasse 10% du capital d'une firme étrangère pour installer une usine, la créer ou la racheter. La décomposition entre l'étape de création artistique et l'arrivée sur le marché fait intervenir un nombre croissant de pays. [...]
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