Ce document est un cours complet présentant le cadre et les notions fondamentales du commerce international. On achète pour revendre. Quand on parle de communauté internationale, on parle de négociants qui achètent dans un pays pour revendre dans un autre. On achète des matières premières pour vendre des produits finis. Cela se traduit par l'achat de matières premières dans un pays étranger (importations) et par la vente de produits finis dans un autre pays (exportations).
Il existe plusieurs zones géographiques en commerce international. On peut citer par exemple le marché national, l'Union européenne et les autres pays. Le commerce à l'intérieur de l'Union européenne est absolument libre, dans le sens où il n'y a pas de contrôle des marchandises et aucun droit de douane. C'est une zone de libre-échange.
Le commerce international génère quelques difficultés : problèmes juridiques, risque de change, problème de logistique, insécurité des paiements, etc.…
Extrait du document : "La balance commerciale est un document comptable qui enregistre les achats et les ventes de marchandises à l'étranger. Si le solde est excédentaire, cela signifie que les importations nationales sont inférieures aux exportations nationales. Réciproquement, si le solde est déficitaire, cela signifie que les importations nationales sont supérieures aux exportations nationales.
Depuis 1992, la balance commerciale française est excédentaire. Cela signifie que l'argent est dans les caisses de l'Etat, mais dans les caisses de toutes les entreprises qui ont participé à la vente des marchandises à l'étranger."
[...] Il interdit le dumping et les subventions à l'importation. Enfin, un seul moyen est autorisé pour protéger un pays de la concurrence étrangère. C'est la mise en place de tarifs douaniers. A ces trois principes s'ajoutent cependant des exceptions : il admet des zones de libre-échange, un traitement plus favorable aux pays en voie de développement et une clause de sauvegarde. C La Banque Mondiale Créée à l'occasion des Accords de Bretton Woods, elle agit essentiellement en faveur des pays en voie de développement auxquels elle accorde des prêts à des conditions avantageuses. [...]
[...] CJ0ors le vendeur deux jours après), soit il manque ne serait-ce qu'un seul document parmi ceux demandés, ou alors un n'est pas conforme, ou alors un délai n'est pas respecté, alors la banque ne paie pas et le vendeur perd toutes les garanties attachées au crédit-documentaire, mais ne perd pas le droit d'être payé par l'acheteur. à 3 mois Paiement : Si 1 USD = 6,00 FRF, donc FRF Si 1 USD = 5,00 FRF, donc FRF Facture : USD 1 USD = 5,5 FRF donc FRF 4/02 4/11 Etude des propositions Appel d'offres Réponses et Propositions Résultats et attribution du marché Paiement principal ~ 6 mois Travaux Garantie de 30 mois par la COFACE Port d'arrivée Acheteur Banque de l'acheteur Port de départ Vendeur Banque du vendeur Acheteur Doc. [...]
[...] B Le crédit-documentaire Il existe deux formes courantes : le crédit-documentaire irrévocable qui comprend l'engagement de la banque de l'acheteur de payer en cas de défaillance de celui-ci et le crédit-documentaire irrévocable et confirmé qui comporte l'engagement des deux banques, c'est-à-dire que si l'acheteur ne paie pas, sa banque paie à sa place et si sa banque ne peut transférer l'argent, c'est la banque du vendeur qui paie à la place du client. 1ère étape : Contrat commercial entre les deux parties. 2ème étape : Demande d'ouverture par l'acheteur à sa banque[48]. 3ème étape : Ouverture du crédit de la banque émettrice à la banque notificatrice. Elle se fait par le réseau interbancaire SWIFT. [...]
[...] V Risque de change et trésorerie Dans la pratique, la plupart des entreprises exportatrices sont confrontées à deux problèmes en même temps : le risque de change quand elle facture en devise avec un paiement à échéance et un problème de trésorerie, c'est-à-dire le fait qu'elles aient souvent besoin de liquidités et qu'elles ne peuvent pas toujours attendre l'échéance pour disposer des sommes facturées. A L'avance en devises à l'exportation Un exportateur facture le 19/11/ USD, payables dans 3 mois. [...]
[...] C Les produits Leurs caractéristiques techniques et commerciales ont une influence directe sur le choix de la formule de commercialisation à adopter. Le niveau de valeur ajoutée du produit détermine les marges qui pourront être dégagées pour financer sa distribution. L'image des produits implique parfois de développer une stratégie d'image forte, impliquant une maîtrise des circuits de distribution. On ne peut envisager de développer une image de très grande qualité non seulement de la production et de l'ensemble des circuits de distribution jusqu'au consommateur final. [...]
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