Écotourisme, protection de l'environnement, pays en développement, tourisme durable, enjeux écologiques, agences de voyage, hôtellerie, produits locaux, ATES Association du Tourisme Equitable et Solidaire, économie locale, agriculture écologique, durabilité, Costa Rica, Brésil
Tourisme solidaire, responsable, vert, et aujourd'hui l'écotourisme. Ce nouveau concept plus centré sur la découverte de la nature est un hybride du tourisme durable. Né il y a une trentaine d'années, il a parcouru un sacré chemin qui la amené à répondre aux enjeux écologiques que traversent l'Homme au XXIe siècle sous l'impulsion du sommet mondial de l'écotourisme à Oslo en 2007. Cela n'aurait pas pu se réaliser sans la participation primordiale d'acteurs. Je veux bien sûr parler des professionnels du secteur et du voyageur lui-même qui donnent vie à cette forme de tourisme.
[...] Prenons l'exemple d'un touriste parisien qui doit se rendre en voyage écotouristique en Amérique latine, dans un pays en voie de développement comme le Costa Rica. Déjà avec le transport en avion, l'empreinte écologique est très importante. Le but étant de compenser cette pression exercée envers les ressources naturelles par des actions tout au long du voyage et à la fin du voyage, faire un calcul pour que l'empreinte écologique soit nulle. Si cela se peut, le touriste privilégiera des transports moins polluants tels que le bateau. [...]
[...] Elles permettent le financement d'une agriculture écologique dans ces pays en voie de développement comme dans la cordière des Andes pour le café. Cette conservation des réserves est un modèle de durabilité. Les dépenses des visiteurs couvrent 100% des besoins de protection des réserves. L'argent provenant de la vente de produits et services liés à l'écotourisme permet aux états grâce aux taxes de financer des projets pour aménager leurs parcs nationaux. Des emplois sont créés dans la région, et ces acteurs de l'écotourisme travaillent pour la préservation de leurs ressources naturelles qui deviennent des sources de revenus lorsque les touristiques les visitent. [...]
[...] Créée en mai 2006, à l'initiative de l'Union Nationale des Associations de Tourisme et de la Plateforme du Commerce Equitable, l'ATES a pour ambition de soutenir les projets de tourisme solidaire. Tel que la mise en œuvre d'une politique environnementale, et une gestion juste des retombées économiques locales. Ainsi, cette labellisation permet d'obtenir une image positive en vue du voyageur. Après, l'hôtelier incite les touristes à sortir de l'hôtel pour encourager l'économie locale. II. Le financement de l'écotourisme pour la protection de la nature Pendant les visites de réserves naturelles ou de parcs nationaux, les touristes dépensent de l'argent. Ces revenues permettent le financement pour la protection de l'environnement. [...]
[...] Comment l'écotourisme peut-il protéger l'environnement dans les pays en développement ? Tourisme solidaire, responsable, vert, et aujourd'hui l'écotourisme. Ce nouveau concept plus centré sur la découverte de la nature est un hybride du tourisme durable. Né il y a une trentaine d'années, il a parcouru un sacré chemin qui l'a amené à répondre aux enjeux écologiques que traversent l'Homme aux XXI nième siècle sous l'impulsion du sommet mondial de l'écotourisme à Oslo en 2007. Cela n'aurait pas pu se réaliser sans la participation primordiale d'acteurs. [...]
[...] Il met en avant le vélo, moyen idéal pour visiter des sites historiques en proposant ce service gratuitement. Il demande à chaque fin de voyage aux clients de compenser son empreinte écologique par une donation. L'éco hôtelier utilise des panneaux solaires pour alimenter ses éclairages intérieurs et extérieurs. Les repas servis sont exclusivement des produits locaux et de saison. En achetant en grosse quantité le petit déjeuner revient moins qu'un classique. Il utilise des récupérateurs d'eau connectés à la gouttière pour laver le sol et arroser ses plantes et remplir les w.-c. [...]
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