Négociation : ne cherchez pas le compromis, Julien Pelabere, méthode SAMPER, négociateurs
Nous passons notre temps à négocier, dans toutes les circonstances, que ce soit en famille, entre amis, en couple, en entreprise. Le compromis est une fausse bonne idée parce que dans ce cas, il y a toujours un perdant.
[...] Négociation : ne cherchez pas le compromis - Julien Pelabere (2018) Nous passons notre temps à négocier, dans toutes les circonstances, que ce soit en famille, entre amis, en couple, en entreprise. Le compromis est une fausse bonne idée parce que dans ce cas il y a toujours un perdant. Ainsi, pour réussir une négociation, il faut suivre plusieurs règles : Prendre le contrôle de ses intuitions L'intuition amène à des erreurs. Si on dit qu'une balle de tennis et une raquette valent ensemble 1.10 euros et que la raquette vaut 1 euro de plus, on serait tenté de penser que la raquette vaut 1 euro alors qu'elle vaut et la balle 5 centimes d'euros. [...]
[...] Avec l'équivalent des Prud'hommes en France, il réclame ensuite dollars et finalement obtient dollars. Le négociateur intervient ensuite pour amener le salarié à négocier en l'invitant à expliquer son mal-être à son ancien patron afin d'éviter le procès. Chercher à augmenter l'autre Comment faire en sorte que l'autre accepte ma proposition. Il faut chercher un bénéfice pour lui. Exemple des négociateurs qui travaillent pour la Police nationale. Les négociateurs amènent le forcené à envisager le bénéfice qu'il y a à se rendre. Conclusion La négociation n'est pas intuitive. [...]
[...] Je cherche toujours à éviter les conflits et je fais mon maximum pour que tout le monde se sente bien autour de moi. Il est rare que je rencontre des difficultés pour m'intégrer dans une équipe et on me dit souvent plutôt aimable, avenant, toujours le sourire aux lèvres. J'aime le relationnel avec les clients, également avec les amis, et je suis toujours positif quelques soit les évènements en me disant que demain sera un autre jour Travaillomane parce que j'ai toujours besoin de me sentir utile, compétent. [...]
[...] Je déteste avoir le sentiment de ne rien faire. Je suis quelqu'un de très courageux. J'ai un esprit d'analyse et de synthèse. Je suis très organisé et j'aime planifier les choses plutôt que de vivre au jour le jour. J'aime également être reconnu pour mon travail et pour mes qualités de réflexion. Un dernier trait pourrait me caractériser enfin mais dans un degré moindre, il s'agit de « persévérant ». Je dirais car je suis assez porté par des valeurs et j'aime bien prendre du recul sur les choses plutôt que de réfléchir dans le feu de l'action. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture