Ce document est un mémoire complet et entièrement rédigé, qui est focalisé sur le risque de crédit bancaire qui peut être néfaste, mais qui, bien géré, permet de conquérir, fidéliser et satisfaire les clients. Il contient une revue de littérature avec des auteurs, des références et des définitions. Son contenu est original et unique et répond à la problématique suivante : Comment pouvons nous au mieux utiliser la gestion d'octroi des crédits (consommation et immobilier) afin de développer commercialement une agence bancaire ?
Voici la plan du document :
1. Sélection des concepts « utiles » à la démonstration
1.1. Crédit et intérêt général
1.2. Mesurer l'excès de crédit
1.3. Le crédit aux Fintechs, un traitement particulier ?
1.4. Responsabilité pour octroi de crédit abusif – Focus sur les sociétés emprunteuses
1.5. Le fort développement du financement non bancaire
1.6. Des entreprises françaises trop endettées : la nécessité d'une vigilance accrue
1.7. L'incohérence des politiques d'accès aux crédits – Focus sur les PMEs
1.8. Un environnement règlementaire de plus en plus exigeant pour les banques en matière de crédits
2. Théories sollicitées et articulation des théories entre elles
2.1. Controverse sur l'étendue de l'obligation du banquier en matière d'octroi de crédits
2.2. Le futur bancaire en matière d'octroi des crédits : le traitement des demandes de crédit, un avantage compétitif
2.3. L'identification et la problématique valorisation des actifs toxiques des banques
2.4. Les approches innovantes
2.5. Les nouvelles tendances émergentes relativement au crédit aux PMEs
2.6. Management et culture du risque dans les banques
2.7. De nouvelles approches du crédit : l'exemple de l'analyse du risque crédit dans les IMF françaises
3. Formulation des hypothèses de recherche devant orienter l'enquête terrain
[...] Il est certain que la mise en œuvre des traitements score et donc la production de la note score, serviront de preuve évidente. En revanche, on peut être davantage circonspect lorsque seule l'analyse traditionnelle aura été utilisée. Sans doute alors que le juge pourra se contenter de présomptions de faits, telles que la production de la fiche de dialogue et la consultation du FICP qui rendent, malgré tout, probable qu'une étude a été réalisée et ce, d'autant plus que le seul fichage au FICP constitue un motif de refus du crédit. [...]
[...] Une question qui se pose à ce stade est d'évaluer dans quelle mesure ce modèle d'analyse du risque pourrait être repris par les banques, du moins en partie pour les éléments transposables, notamment en mettant l'accent sur des forces telles que prise d'initiatives, implication individuelle et revalorisation du facteur humain et du lien de confiance, décloisonnement entre les activités de front et de back office. Formulation des hypothèses de recherche devant orienter l'enquête terrain Etude quantitative ou qualitative : Question Hypothèse testée 1. Présentez-vous, vous et votre fonction Qualité d'expert et donc raisons du choix 2. Que pensez-vous de l'évolution du risque de crédit bancaire aujourd'hui en France ? Vérifier H1 : « On constate en France une hausse du risque de crédit bancaire, du fait de la forte baisse des taux. [...]
[...] Cette dissémination du risque de crédit limite par nature les possibilités d'investissement des particuliers. Par ailleurs les moyens limités d'analyse des risques conduisent à une grande sélectivité et à un coût élevé du crédit alors qu'il faudrait au contraire développer la production pour atteindre la rentabilité. La prophétie selon laquelle « en 2020, la foule aura pris le contrôle de la finance » semble, dans ces conditions, n'avoir guère de chances de se réaliser. Au vu de la professionnalisation rapide de l'écosystème c'est plutôt l'inverse qui devrait se produire. [...]
[...] Vérifier H5 : « De nombreux défis doivent être aujourd'hui relevés par les acteurs bancaires traditionnels pour se différencier et fidéliser les emprunteurs : innovations technologiques, rapidité de traitement, prise d'initiatives, implication individuelle et revalorisation du facteur humain et du lien de confiance, décloisonnement entre les activités de front et de back office. » BIBLIOGRAPHIE J. Vezian, La responsabilité du banquier : 2e éd n° 169 L. Vilanova, La décision de prêt bancaire comme signal imparfait sur l'emprunteur : Rev. éco. [...]
[...] La mise en œuvre des techniques traditionnelles d'étude de la solvabilité d'un emprunteur, essentiellement fondées sur l'analyse des chiffres, doit permettre au banquier de déterminer la capacité de l'emprunteur à rembourser à une date donnée. Cependant, ces techniques ne sont pas parfaites et trouvent rapidement leurs limites lorsqu'il s'agit d'étudier autre chose que des chiffres ou de distribuer du crédit en masse. En effet, la solvabilité n'est pas seulement faite d'éléments purement objectifs mais également d'éléments dits « subjectifs », pour lesquels l'analyse par les chiffres n'est d'aucun recours. Face aux éléments subjectifs de la solvabilité, le savoir-faire du banquier est alors la seule arme pleinement efficace. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture