Ce document est un résumé de modules de banque et marchés financiers.
Chapitre 1 : le financement de l'économie.
Chapitre 2 : La dynamique des systèmes financiers : Développement financier et crises .
Chapitre 3 : La création monétaire.
[...] : - amélioration de la réglementation existante ? [...]
[...] Vision pessimiste = peu de protection contre les crises donc il est inévitable de se dire qu'une crise arrivera prochainement = la libéralisation financière est un objectif en soi et le fait que cela génère de l'instabilité a paru normal au début (fonctionnement d'une économie de marché) mais maintenant on a vu qu'une importante instabilité provoque de profondes crises = le consensus montre que le marché a besoin d'une institution → Il y a un renforcement de la transparence sur les produits financiers innovants (même s'ils ne sont pas régulés, ils sont mieux connus) + la coopération entre les pays pour réduire les zones de paradis fiscaux est une avancée car c'est une partie de l'information que les agents ne possèdent pas mais cette réforme est loin d'être efficace = certains économistes clament que les paradis fiscaux sont bénéfiques pour les entreprises car elles réduisent leurs couts et permettent ainsi plus de croissance + la séparation des banques et des marchés financiers est aussi une reforme inachevée = avant ces secteurs étaient séparés (avec le « Glass-Steagall Act » aux USA impliquant la séparation des banques de dépôts et des banques d'investissement) mais maintenant cela semble improbable = CONCLUSION 2 = Coûts et bénéfices du développement du secteur financier = il faut être conscients qu'il y a des coûts entraîné par le développement du secteur financier = il faut donc trouver le bon niveau de développement pour ne pas être trop impacté par ces coûts / Les bénéfices = moyens de paiement, financement, gestion des risques / Coûts = instabilité financière, coûts des crises financières = nécessite une régulation du système financier pour favoriser son impact sur la croissance et la répartition Section 3 : La transition numérique * De quoi s'agit-il ? [...]
[...] : - pour certains économistes très libéraux, une crise financière est un mécanisme de marché qui élimine les acteurs les moins efficaces = élimination des institutions financières ayant pris trop de risque = mais coût exorbitant et non concentré sur les responsables = les punis ne sont pas forcément ceux qui ont pris le plus de risque = parfois se sont même ceux qui s'en sortent le mieux car ils se sont débarrassés des actifs les plus risqués - parfois modification de la régulation favorable à la stabilité financière = argument beaucoup utilisé dans les années 2010 = sorte de conviction qu'on allait revenir sur la libéralisation financière = mais constat d'échec = effet pas si fort que ça = 10 ans après la situation n'a pas tant changé = même si après la crise de 29, c'est effectivement ce qui s'est passé (séparation des banques de dépôt et d'investissement, New Deal ) = a poussé les USA à mettre en plus une régulation plus importante 2.2 Les sources des crises = peut-on les prévoir ? [...]
[...] (un peu mais pas de manière fiable) Les méthodes * Méthode historique (narrative) → Analyser la chronologie des crises pour identifier des points communs dans le déroulement des crises = utilisation des points communs identifiés dans la période précédant le déclenchement de la crise comme des signaux d'alarme * Méthode statistique (économétrique) → Collecter un maximum d'indicateurs économiques sur les périodes précédent les crises (indicateurs macroéconomiques) → Prévision des crises à partir de régularités statistiques (calcul de corrélations) = besoin de données statistiques exhaustives = on observe les régularités statistiques = sorte de prédiction des crises (même principe utilisé par les banques pour savoir si l'emprunteur sera capable de rembourser ou pas) → Applicable uniquement sur la période précédente (depuis 1960-70) Les enseignements de l'histoire longue ° Quelles expériences si on s'appuie sur ses deux méthodes ? [...]
[...] Les crises visibles dans les prix = perte mesurable de la valeur des actifs financiers (monnaie, titre) = crise identifiée lorsque la perte de valeur dépasse un seuil (25-50% par an) = variété de crise en fonction de l'actif qui perd de sa valeur : - crise inflationniste (exemple = hyperinflation au Zimbabwe, au Venezuela) = perte de la valeur interne de la monnaie (baisse du pouvoir d'achat) - crise de change = perte de la valeur externe de la monnaie (dépréciation du taux de change) - crise boursière = baisse du prix des titres financiers sur les marchés = on observe pour ce fait l'évolution de la moyenne des plus gros titres (CAC 40/ NASDAQ) = si la moyenne des plus gros titres s'effondre = crise boursière 2. [...]
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