Une bonne politique d'image devrait, d'une part, pouvoir rappeler au public que l'entreprise existe, c'est un outil qui permet à l'entreprise de rester dans la mémoire du public, intégrer le plus possible son environnement quotidien sans pour autant l'agresser. D'autre part, l'image doit véhiculer l'idée comme quoi l'entreprise est une organisation à forte valeur ajoutée, et enfin, qu'elle est un label de qualité. En outre, démontrer la notoriété de l'entreprise.
L'image est également un outil de lobbying auprès des pouvoirs publics. En effet, ceux-ci préféreront fréquemment la voix de la convention et du dialogue lorsque l'image verte est crédible plutôt qu'un arsenal juridique contraignant dans le cas contraire. Aussi, une image « propre », notamment une entreprise ayant une certaine transparence économique, peut facilement bénéficier d'un réseau d'alliés lors de la conduite de projets de développement d'activité, ou pour une alliance stratégique.
Chaque image correspond à une cible homogène et une réalité fonctionnelle de l'entreprise. Les différentes images interagissent les unes sur les autres, elles sont indissociables. C'est à partir de l'association de ces différents pôles de l'identité de l'entreprise que l'on dégage une image positive ou négative.
Mais il faut noter que rien n'est acquis, une image bonne ou mauvaise n'est pas définitive, elle peut changer au cour du temps et évolue avec l'environnement de l'entreprise. De même elle n'est pas universelle, tout dépend de la cible qu'elle vise, elle varie en fonction du public considéré.
[...] L'image est également un outil de lobbying auprès des pouvoirs publics. En effet, ceux-ci préféreront fréquemment la voix de la convention et du dialogue lorsque l'image verte est crédible plutôt qu'un arsenal juridique contraignant dans le cas contraire. Aussi, une image propre notamment une entreprise ayant une certaine transparence économique, peut facilement bénéficier d'un réseau d'alliés lors de la conduite de projets de développement d'activité, ou pour une alliance stratégique. Chaque image correspond à une cible homogène et une réalité fonctionnelle de l'entreprise. [...]
[...] Un nouveau marché émerge et cela entraîne une bagarre entre opérateurs pour obtenir une part de succession. Le 12 est le numéro le plus connu avec 85% des abonnés au téléphone fixe comme mobile qui ont le réflexe de le composer pour avoir des renseignements. Le 12 sera donc remplacé par des numéros de type 118 XYZ ouvert à tous les opérateurs. II) Les forces en présence Parmi les dizaines de numéros en circulation exploités par 27 sociétés, on distingue 5 acteurs lancés le même jour en concurrence frontale qui sortent du lot par la puissance de leurs investissements médias : Télégate, The Numéro, Bottin, Pages Jaunes, et France Télécom. [...]
[...] (Vidéo) Une image positive *Belgacom Bottin : et ( 118999) L'image positive vise à faire connaître l'entreprise sous ses meilleurs jours et à mettre en évidence les valeurs de l'entreprise. Le Bottin entend capitaliser sur son nom que tout le monde connaît qui s'assimile au métier de spécialiste des annuaires, et s'appuie sur le savoir-faire acquis dans la conception. Il possède donc une bonne notoriété de par son nom qui le rend crédible. L'opérateur fait une allusion à James Bond avec le choix de son numéro qui est le qui reste facilement en mémoire, mais qui peut être plus ou moins bien interprété car on peut croire qu'il est périlleux de les joindre. [...]
[...] Dans un des volets de sa saga, le 12 est même personnifié sous la forme d'un élève viré du cours d'aérobic. La musique de la publicité est bien inscrite dans l'inconscient collectif et n'avait encore jamais été exploitée dans le milieu publicitaire. Le fitness intègre des valeurs positives et énergiques. Le projette donc une image nettement plus moderne et créative par exemple avec le toutouyoutour ou plutôt la tournée nationale de deux ringards enthousiastes et bien décidés, qui 20 ans après remettent la France en forme. [...]
[...] (Vidéo) Les tentatives en Allemagne et en Espagne ne sont guère rassurantes. En Allemagne, Deutsche Telekom, après 9 ans d'ouverture, détient encore la moitié de la part de marché face à un Telegate qui en possède à peine un tiers. Une vingtaine d'autres se partagent les miettes. En Espagne, c'est Telefonica, l'opérateur historique, qui domine face à une trentaine de concurrents. Mais les prix des services ont augmenté de 134% en 2 ans pour une qualité en baisse. Conclusion Le but de cette libéralisation n'est pas que France Télécom perde des plumes. [...]
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