PPE; partis pris d'enseigne; management du changement
Le but de cet essais fut de faire un constat, d'un changement dans une enseigne de la grande distribution. Le thème abordé sont les PPE (parti pris d'enseigne) effectué notamment au sein de deux rayons différents (fruits et légumes et librairie disque)
[...] Le chef de rayon peut alors commencer à former son équipe. En effet, qui dit nouveau PPE dit nouvelle règle, dans la tenue et les équipements en fruits et légumes, dans les conditions de retour et la pratique d'un nouveau logiciel en librairie. Les salariés effectuent alors un apprentissage des nouvelles méthodes, des nouveaux procédés mis en places, des ajustements qu'il y a à faire. Certains ont vu de nouvelles opportunités s'ouvrir à eux, des personnes qui ont très facilement acceptés, qui sont sérieuses dans ce qu'elles font, on eu de nouvelles responsabilités. [...]
[...] Certains salariés se braquent, et se confortent en essayant de justifier leurs points de vue (qui peu parfois être légitime), cela peut effectivement leur faire gagner du temps, s'il arrivent à ralentir les choses, en fruits et légumes par exemple, une personne faisant partie des responsables syndicaux a essayé d'empêcher un changement d'horaire rentrant dans le cadre du PPE, mais au final il n'a fait que ralentir la mise en place du process. C'est alors que ces personnes, habitués à leur quotidien, leur train de vie, qui s'aperçoivent qu'il va y avoir du changement et qu'ils ne peuvent l'arrêter s'enferme, pendant un temps, dans une phase de désespoir voir de dépression. Pour eux, ces changements bouleversent leur quotidien, au point qu'ils perdent leur motivation. [...]
[...] On pouvait voir l'inquiétude dans les paroles des collaborateurs. Ils étaient habitués à leur petite implantation (notamment en librairie car en fruits et légumes le rayon bouge avec les saisons). Et de ce fait, ils ont tout de suite demandés si nous étions obligés de le faire, que ça aller tout compliquer Bref, de la « mauvaise volonté » se faisait ressentir dans l'auditoire. Il y avait surtout une crainte qui s'explique par le fait que les personnes qui sont en magasin, sont un peu en guère avec les personnes qui sont en centrales. [...]
[...] Je pense que l'on devrait laisser un minimum de liberté au chef de rayon, chaque magasin a besoin de s'adapter à sa clientèle, on vend peut-être plus de BD que de roman dans le Nord, alors pourquoi faire une TG de romans ? D'autant plus que l'on voit que côté chiffre d'affaire un rayon comme la librairie est souvent en négatif. Le fait de laisser une liberté d'adapter le PPE en fonction de sa zone, de faire participer intégralement l'équipe, qui sont des professionnels dans leur domaine pour la plupart, n'améliorerait-il pas la perception de ce dernier après des collaborateurs et les impliqueraient dés le départ ? [...]
[...] Tels que la librairie, le textile ou encore les fruits et légumes. Après les grandes années qu'on connu les hypermarchés, où ils battaient leur record de chiffre d'affaire, de taux de transformation Ils ont du faire face à une crise dans leur secteur. En effet, l'arrivé de nouveaux concurrents, et, l'image de la grande distribution se dégradant, les hypermarchés ont du faire face à une régression de leur chiffre d'affaire dans certains secteurs. Des rayons, comme la librairie, et le textile perdaient du client et surtout du chiffre d'affaire. [...]
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