Marketing stratégiqueA
Fin des années 80 : Il n'y avait pratiquement pas de Hard Discount, pas de loi Galland ni de loi Raffarin, pas de Web= pas de comparateur de prix. Il existait donc un modèle unique qui est le supermarché.
Année 90 : Emergence d'une culture marketing (on n'achète pas les bons produits des fournisseurs mais on achète ce que le client à besoin.
Une véritable culture marketing, on commence à prendre en considération les besoins des consommateurs, on travail les missions de l'entreprise, la différenciation, la fidélité, les notions de champs de compétences des marques
Fin des années 90 (la pensée unique) : centralisation, globalisation et sophistication. On voit apparaître une internationalisation et un phénomène de concentration (de moins en moins d'enseignes). Les enseignes ont soit disparu ou a été racheté par un concurrent.
[...] Si vous êtes multiformats monomarques allez-vous pouvoir avoir une promesse claire ? Dans ce cas vous avez un marketing de masse car vous avez votre nom sur tous les formats. Réponse : c'est difficile mais pas impossible. Exemple positif : Leclerc super, Leclerc Hyper et toutes les déclinaisons des Leclerc ou Système U Exemple négatif : TATI Quelques réflexions supplémentaires En quoi le plantage d'un format a-t-il répercussion sur tous les autres formats ? Si Il ristorante se plante, y aura-t-il des répercussions sur Flunch ? [...]
[...] La différence c'est la part immatériel que nous sommes prêts à payer pour avoir la marque qui fait la même chose. Ex : avec macintosh Une enseigne à envie de devenir une marque, une enseigne c'est ce qui à au dessus du magasin, le nom de la chaîne. Ex : carrefour market, carrefour planet . Decathlon : on essayé d'abord de devenir une marque et on fait ensuite des marques à côté . Mais il ne faut jamais oublier le marketing de preuve : c'est l'expérience concrète, réel, physique, matériel que vous faîtes vivre à vos clients. [...]
[...] C'est-à-dire des symboles, de l'émotion et du psychologique. Exemple : Au départ Décathlon était une enseigne de distribution mais petit à petit il met son nom sous tous les produits et se transforme en marque. Ils ont créé des marques qui n'ont plus rien à voir avec l'enseigne (concurrentes entres elles Une marque est un parti prix de valeur, d'image, de gaieté, d'usage pour un produit. Exemple : Quechua, Domoyos Sans perdre la tête et sans oublier le marketing de preuve (force d'une enseigne) Marketing de preuve= expérience physique ou réalité commerciale (parkings, poubelles, clarté du merchandising ) Attention : le marketing de signe fragilise car il l'intellectualise, il se coupe du client. [...]
[...] Une enseigne est beaucoup plus forte qu'une marque et pourtant toutes les enseignes rêvent de devenir des marques Enseigne= Brand Marque= Brand Une enseigne est un lieu où on vit des expériences concrètent d'acheteur. Exemple : Aldi. Une marque véhicule un contenu symbolique émotionnel, un peu théorique = IMMATERIEL. La marque touche l'émotion, l'enseigne touche le concret. La marque a un marketing de signe alors que l'enseigne a un marketing de preuves.4 Questions : - Peut-on faire les deux ? - Peut-on devenir une marque enseigne ? Exemple : Apple ou Apple store ou Swatch, Calvin Klein Réponse : Oui s'est possible - Est-ce possible pour les distributions alimentaires ? [...]
[...] Elle est en 5 étapes : le diagnostic cad la connaissance et l'analyse du problème : comprendre le produit, le consommateur, les acteurs de ce marché On planifie l'action : le choix des objectifs, on cherche des solutions possible puis on les budgétise, tester les solutions, on choisit et on monitore, choisir un plan d'action et on en fait le monitoring. le suivi de l'action dans la durée : consignes, procédures, procès, management du changement, formation. contrôle et compréhension des résultats. La rétroaction. [...]
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