XVIIe siècle, révolution scientifique, milieux intellectuels divisés, Newton, savant de la Création
La révolution scientifique est un moment où dans un système de principes scientifiques bien établis, intervient une nouvelle théorie qui n'est pas en situation de discontinuité avec les principes précédents. Mais qui par sa présence finit par rendre caduc le système antérieur.
[...] Depuis Gallien on est persuadé que le corps est dans le bain sanguin, qu'il y a dans le corps du sang et qu'il ne circule pas. Or avec cette découverte Harvey démontre, que le sang circule. Il publie en 1628 Du mouvement du cœur, cette observation est essentielle. Les hommes du XVIIe siècle vont voir le mouvement. Courant empiriste qui repose sur des observations, sur des expériences qui ne conduisent pas à la théorie. Ils négligent l'outil mathématique. C'est un mouvement qui a lieu dans l'université de Cambridge, ce courant ne débouche sur rien. [...]
[...] Le XVIIe siècle : Une révolution scientifique ? La révolution scientifique est un moment où dans un système de principes scientifiques bien établis, intervient une nouvelle théorie qui n'est pas en situation de discontinuité avec les principes précédents. Mais qui par sa présence finit par rendre caduc le système antérieur. Nous entrons dans l'ère de la mathématisation du monde, en 1609 pour la première fois dans l'histoire est formulé une loi de physique en terme mathématique. C'est l'Allemand Kepler qui évoque l'orbite de certaines planètes. [...]
[...] Il découvre qu'au moment de la respiration, il y a un échange de gaz, et une combustion d'une certaine manière. C'est un homme très présent, et puissant à l'université d'Oxford. c'est la voie la plus prometteuse à l'époque. Tous ces hommes ne se disent pas qu'ils sont dans une impasse, c'est nous avec le recul qui voyons cela. Chez tous ces hommes nous avons une soif de connaitre, qui est intense, forte. Pierre Chaunu explique que cette soif de connaitre, est à ramener à un désir très encré de connaitre ce que l'on appelle à l'époque la Création, et par là même Dieu. [...]
[...] C'est une conception naïve, et qui ne porte pas ses fruits. C'est un échec. Pour lui le seul langage universel, ce sont les mathématiques. C'est ce qui l'amène à penser que la Nature, ne peut être comprise qu'en termes mathématiques. En 1687 il publie son premier livre il ne le voulait pas c'est un de ses amis, Bentley qui l'encourage à le faire. Ce livre c'est Principes mathématiques de la philosophie de la nature. Cet ouvrage a comme équivalent le Discours sur la Méthode, l'ouvrage de Newton est un écho de Descartes. [...]
[...] Des milieux intellectuels divisés En Angleterre comme en France et dans d'autres pays on commence à voir se constituer, des sociétés des réseaux de savants. Un petit monde d'intellectuel apparait correspond. C'est l'époque où l'on commence à s'interroger, sur les méthodes de la connaissance : comment connait-on ? On voit apparaitre deux grandes tendances : - L'école empirique elle repose sur le philosophe Francis Bacon, qui au début du XVIIe siècle affirme que c'est par l'expérience que l'on peut comprendre les grands phénomènes. [...]
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