Bourgeois, corps de métier, paysannerie, vagabonds, privilèges
La « société d'ordre » définit la société d'ancien régime. Un ordre est un corps fondé sur la dignité et sur le jeu des préséances. C'est-à-dire un corps auxquelles on appartient dès la naissance et qui nous place dans la hiérarchie sociale. Nous somme dans un monde ou dès que l'on nait on appartient à un ordre. Les trois ordres : clergé, noblesse, tiers état. Cette tripartition à du plont dans l'aile au 17e siècle.
[...] La noblesse a essaye se privilège de l'exercice des arme en vain. Ainsi en 1614 sous la régence de Marie de Médicis les états généraux sont réunis cahier de doléance), dans les cahiers la noblesse veut le monopole des grades d'officiers dans l'armée. Marie de Médicis n'accepte pas, car l'armée à déjà beaucoup évolué. Cette noblesse est désormais scindé en deux : la noblesse d'épée (noblesse des combat sur les champs de bataille, noblesse qui se veut immémoriale) et la noblesse de robe (récente, noblesse des magistrats en servant le roi dans l'administration, acquise le plus souvent par l'achat d'offices anoblissant). [...]
[...] Par exemple lors des mariages, des accords commerciaux. Il devient de plus en plus difficile e faire la part entre un noble et un bourgeois (Molière le bourgeois gentille homme). En outre tout ce petit monde des élites se trouve dans des lieux communs comme les salons littéraires, les académies, les opéras, les théâtres . Les entraves à l'unité: coutumes et privilèges La France n'est pas aussi uni qu'on pourrait le penser. Le rapport espace temps n'est pas le même qu'aujourd'hui. [...]
[...] La tripartition en ordres au XVII : pertinence et limite La société d'ordre définit la société d'ancien régime. Un ordre est un corps fondé sur la dignité et sur le jeu des préséances. C'est-à-dire un corps auxquelles on appartient dès la naissance et qui nous place dans la hiérarchie sociale. Nous somme dans un monde ou dès que l'on nait on appartient à un ordre. Les trois ordres : clergé, noblesse, tiers état. Cette tripartition à du plont dans l'aile au 17e siècle. [...]
[...] Le roi n'est donc pas une personne purement laïque. Réciproquement les ecclésiastiques sont souvent des personnages publics, avec des missions d'état comme la tenue des registres paroissiaux. De même les curés on l'obligation en chaire il doit lire à ces paroissien les lois qui viennent d'être adopter > toute les décisions gouvernementales. Ce discours contient des informations sur la loi c'est le prône. Depuis la fin du 16e siècle le clergé à le droit de se réunir en assemblée générale du clergé de France. [...]
[...] Parfois elles sont générale et s'applique à une grandes partie du territoire, au nombre de 60 sous Louis XIV. Mais il y à coté plus de 300 coutumes locales. C'est un maquis juridiques, puisque beaucoup de coutumes sont longtemps orale. L'état ne se satisfait plus de ces coutumes et en 1454 Charles VII promulgue l'édit de Montils lès Tours qui ordonne de mettre toute les coutumes par écrit. C'est une manière pour le roi de maîtriser des coutumes. Cela manifeste la volonté de contrôler ces coutumes, le pouvoir royale à ainsi un pouvoir de regard sur les coutumes. [...]
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