Transformation de l’assistance, 17e siècle, grand renfermement, aumône générale, pauvres
Au milieu du 17e siècle le système de l'aumône générale pour des questions de financement va rentrer en crise. Souffrant d'un manque de moyen les villes vont avoir tendance à augmenter les taxes pour financer le système. Les élites urbaines vont de plus en plus rechigner à financer l'aumône générale. L'aumône générale devient très impopulaire. C'est l'état qui va peut à peut le relais des municipalités dan la politique d'assistance. L'état pour la première fois va se préoccuper de lutter contre la pauvreté. Dans les années 1650-1660 la peur du pauvre tend à se généraliser, on perçoit de plus en plus le pauvre comme un asocial qui menace la stabilité de toute la société.
[...] La forte opposition des ordres de corporation, en effet dans les hôpitaux généraux il y a une main d'œuvre gratuite qui sort des produits textiles bon marché et donc très concurrentielle. Très vite les maitres artisans vont avoir le sentiment de concurrence déloyale qui va même mener à des émeutes organisés contre les hôpitaux généraux. La sourde résistance de la population, premièrement le sentiment chrétien ne comprend pas qu'on puisse interdire l'aumône individuel, enfin beaucoup d'artisans savent que si survient une crise économique on beaucoup de risque de se retrouver vagabond. Des la fin du 17e siècle le système s'essouffle. [...]
[...] De faite le grand renfermement n'a été que partielle, tel que sous Louis XV on arrêtera cette politique (J.P GUTTON), cela est du à cinq raisons : La fuite de nombreux mendiants pour éviter le grand renfermement, les mendiants se sont déplacer dans le royaume pour éviter d'être dans une ville qui a un hôpital. La mendicité clandestine Les infrastructures sont inadéquates, ce sont de véritable passoir, il n'y a jamais eu suffisamment de soldats pour empêcher la sortie. Des problèmes de financement vont assez vite apparaitre, tels qu'a la fin du 17e siècle l'état va demander une aide financière aux municipalités. Or ces dernière répugne à dépenser de l'argent pour aides les pauvres qui sont souvent d'origine rural venu mendier en ville. [...]
[...] Il remarque que cette grande politique d'enfermement est caractéristique des sociétés post milieu du 17e siècle. On voit apparaitre de grandes prisons, des casernes, des Asiles, des Hôpitaux généraux. Les pauvres ne vont pas d'eux-mêmes à l'hôpital général, ainsi les pauvres vont être pourchassé par la police et enfermé dans ces hôpitaux. Ils vont devoir travailler sans êtres rémunérés, souvent de l'artisanat textile. Parallèlement il y a un fort encadrement religieux, cet encadrement va être assuré pour les hommes d'une congrégation récente : les Lazaristes créer par un basque Vincent de Paul. [...]
[...] Le pouvoir royal créer une nouvelle institution c'est l'hôpital général, et va procéder au grand renfermement des pauvres. Le but est d'enfermer les pauvres pour pouvoir lui redonner de saint principe de vie. (Le lieu ou on accueil les malades c'est l'hôtel Dieu). L'hôpital désigne un endroit ou on enferme les pauvres et les vieillards. Avant Louis XIV il y a eu des Hôpital général le premier est celui de 1614 avec l'hôpital de la Charité de Lyon, c'est un lieu qui est encore financé par la municipalité. [...]
[...] La transformation de l'assistance au XVII: le grand renfermement Au milieu du 17e siècle le système de l'aumône générale pour des questions de financement va rentrer en crise. Souffrant d'un manque de moyen les villes vont avoir tendance à augmenter les taxes pour financer le système. Les élites urbaines vont de plus en plus rechigné à financer l'aumône générale. L'aumône générale devient très impopulaire. C'est l'état qui va peut à peut le relais des municipalités dan la politique d'assistance. L'état pour la première fois va se préoccuper de lutter contre la pauvreté. [...]
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