La ville en France au 17e siècle est un phénomène minoritaire, environs 15% de la société de l'époque. La ville concentre la richesse et le pouvoir. Cette ville est très importante par sa domination symbolique des campagnes, sont prestige est immense. Par rapport aux campagnes elle est signe de privilèges et de liberté. Et les citadins sont près à défendre à la main leurs libertés. Cet attachement nous le voyons dans le dicton « l'aire de la ville rang libre ».
[...] Le plus souvent l'ainé prend la succession du titre et le cadet rentre dans le clergé. On se rang compte qu'au 17e siècle, la noblesse de robe fournie un nombre grandissant d'évêques. Si les évêques sont souvent enraciner dans leurs provinces, ils sont parfois des étrangers. Les évêques en France sont choisie selon le texte du Concordat de Bologne en 1516 : c'est le roi qui choisie les candidats à l'épiscopat et le pape confère au candidat choisit par le roi l'investiture spirituelle. [...]
[...] Elle se fait ainsi construire en ville des résidences de prestiges : les hôtels particuliers. Plus la ville est grande plus ces hôtels particuliers vont se multiplier et particulièrement dans l'est parisien, car un grand nombre de promoteur se lance dans l'urbanisation de cette zone (faubourg saint Antoine). A l'ouest on a plutôt de grandes propriétés monastiques telles que Saint Germain des Pré. A l'est est construite la place royale qui est une place de prestiges où tout autour nous trouvons une multitude d'hôtel particulier. [...]
[...] La culture est synonyme de ville au 17e siècle. L'hétérogénéité des groupes dominants Noblesse et le haut clergé En ville comme à la campagne, la noblesse domine. L'une des marques de cette puissance c'est son degré de richesse. On se rang compte qu'elle constitue presque toujours la catégorie sociale la plus riche. L'une des grandes villes de France qui ne se caractérise pas par la fortune nobiliaire, c'est Marseille. Cette ville voué au négoce et à la manufacture, et c'est ces grand négoces qui dominent le patrimoine urbain. [...]
[...] Les non nobles sont très peu à accéder à l'épiscopat. Mais nous avons tout de même l'exemple de Jules Mascarons, qui est le fils d'un modeste avocat, qui va passer par la congrégation de l'oratoire. Or il se relève un prédicateur hors pair. Il se fait ainsi une grande réputation d'orateur sacré, son Eglise ne désemplit pas, et sa réputation est telle qu'elle arrive jusqu'à Louis XIV. Il le fait venir à la cour, et il devient le prédicateur personnel du roi. [...]
[...] Les strates de la société urbaine La ville en France au 17e siècle est un phénomène minoritaire, environs 15% de la société de l'époque. La ville concentre la richesse et le pouvoir. Cette ville est très importante par sa domination symbolique des campagnes, sont prestige est immense. Par rapport aux campagnes elle est signe de privilèges et de liberté. Et les citadins sont près à défendre à la main leurs libertés. Cet attachement nous le voyons dans le dicton l'aire de la ville rang libre C'est toutes les populations urbaines qui bénéficient de ces privilèges et ceux-ci sont : L'exemption de la taille Les villes sont dispensées de l'obligation du logement de guerre (véritable problème) Les villes sont dans une certaines mesures la possibilité de s'auto administrer Le droit de lever une milice, pour assurer l'autre et la défense de la cité. [...]
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