Exposé d'Histoire Moderne: Les relations internationales post bipolaires, un imbroglio mondial
A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les « Deux Grands » (Etats Unis et URSS) se
sont engagés dans un conflit idéologique qui va aussitôt diviser le Monde. On assiste donc à la
bipolarisation de celui-ci. En 1985, lorsque Mikhaïl Gorbatchev monte au pouvoir en URSS,
il reforme le système soviétique favorisant ainsi la faiblesse de sa puissance. En 1989, le Mur
de Berlin, symbole de la Guerre Froide, tombe et en 1991 l'Union soviétique s'effondre.
[...] L'Europe est donc en quelque sorte dépendant des Etats Unis depuis l'ère post-bipolaire. Ignacio Ramonet conclu par rapport à la puissance américaine dans l'ère post-bipolaire en disant que cet empire aspire à réaliser dans les faits la mondialisation libérale. Tous les opposants, tous les dissidents et tous les résistants doivent maintenant savoir qu'ils seront combattus dans les fronts économique, idéologique et militaire 10». La gestion du monde depuis les attentats du 11 septembre 2001 par les Etats Unis est à l'épreuve des critiques qui voient la montée des nouveaux pôles de puissance. [...]
[...] C'est ainsi que plusieurs pays vont encourager (voir participer à) l'invasion américaine en Irak. A ce sujet, le journaliste Bob Woodward dans son livre entretien, Bush at War dit que : la décision de réduire Sadam Hussein date de l'origine de l'administration Bush et que le 11 Septembre, en en fait retardé l'exécution5 Mais cet attentat a permis à Bush de préparer la coalition militaire afin d'attaquer l'Irak. A partir des attentats, les Etats Unis cherchent à dicter leur loi dans le monde. [...]
[...] Depuis le début du XXIème siècle, les pays émergents sont des pôles incontournables des Relations internationales. Il s'agit entre autres des pays comme la Chine, l'Inde, le Brésil, le Japon, l'Egypte qui sont les principaux challengers des Etats Unis sur les plans économique et idéologique. Certains observateurs avertis pensent que dans un quart de siècle, la Chine rattrapera la puissance américaine. Dans le même ordre d'idée, Thomas Melono dit que : dans un monde où les puissances économiques des Etats auront tendance à s'équilibrer, la diplomatie américaine sera obligée d'amodier son discours pour conserver sa crédibilité12 On peut donc comprendre que les Relations Internationales post-bipolaires depuis quelques années sont influencées par les nouveaux pôles de puissance. [...]
[...] En 1985, lorsque Mikhaïl Gorbatchev monte au pouvoir en URSS, il reforme le système soviétique favorisant ainsi la faiblesse de sa puissance. En 1989, le Mur de Berlin, symbole de la Guerre Froide, tombe et en 1991 l'Union soviétique s'effondre. Désormais le conflit Est/Ouest est clos et il ne reste plus que la puissance américaine qui se dit seul et unique pôle. A partir de cet instant, les Relations interétatiques deviennent confuses. Notre préoccupation ici est celle de montrer les faits qui expliquent ce sens de confusion des relations Internationales post-bipolaires. [...]
[...] Bush divise le monde en trois camps : Les Etats Voyous, les pays de l'axe du mal et les pays qui soutiennent la politique des Etats Unis. En fonction de leurs hostilités à l'égard de l'Amérique, les adversaires sont classés en deux catégories : Les Etats voyous6 (qui soutiennent le terrorisme) et les pays de l'axe du mal7 (qui développent un programme nucléaire). On comprend donc que les Relations Internationales post bipolaires sont marquées par la présence des Etats Unis. [...]
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