Empire chinois moderne, Chine, chef de famille, principes philosophiques, principes moraux, empereur
Les sociétés se constituent à partir de principes et de valeurs, et cela varie d'une civilisation à l'autre. Ce qui est net chez les Chinois c'est l'importance donnée à la famille au sens large. Qui peut compter une dizaine d'individus à plus de mille personnes. Cette famille est patriarcale et partie linéaire (l'ainé de la lignée issue du père permet la transmission). C'est le cœur de tout le dispositif sociétal du monde chinois.
[...] Au fur et à mesure des siècles on a appliqué ces deux pôles aux groupes humains. Le YIN représente la femme et le YANG l'homme. On nous explique que le YIN YANG ils sont entremêler. Pour cet auteur nous avons en permane un passage du yang au yin et du yin au yang, a la l'intérieur de notre organisme de notre sensibilité, à l'intérieur des sociétés et à l'échelle de l'univers. Ces sous ensemble repose sur une différence entre le pole positif et le pole négatif. [...]
[...] Il s'agit par des rituels de respecter l'ordre du monde. Idéologie qui encourage à reproduire. Cette conception est appliquer à tous les domaines tel le domaine médicale, avec l'énergie est au cœur de l'organisme : acuponcture ; dans l'analyse de l'univers, dans domaine philosophique et politique. Dans cette chine du XVII et XVIII ce ne sont pas des principes religieux qui régissent l'état, la société voir le monde. Ce sont en revanche des principes qui on trait à une spiritualité. [...]
[...] Il est responsable de la vie de la famille aux yeux du pouvoir il est aussi l'intermédiaire entre l'empereur et la population. Il a des fonctions de nature judiciaire, de pouvoir prélever l'impôt. Ce qui d'autre par est essentiel c'est que ces chefs de famille finissent par ce comporter comme de véritable potentats : guerre entre chef de famille et la famille. L'histoire de la chine est traversée par ces luttes. Ceci explique qu'il n'y est pas d'idée d'individus, on est membre d'une famille. Pas de patriotisme non plus. Ils n'on pas l'idée d'appartenir à la chine mais à la famille. [...]
[...] Ce n'est plus simplement le père de famille et es membres e ces familles, mais l'empereur chefs de famille et chef de guerre et en dessous des esclaves dominé par le système militaire manchou. Ce système des bannières permet l'infusion des Han (chinois) des mongols et des manchou. Le manchou voulait un brassage pour pouvoir encadrer la population, mais il n'y a pas fusion. Les mariages entre manchou et han sont interdit manchou et il y a 3 fois plus de Han, il faut encadrer cette population mais pas se mélanger avec elle. [...]
[...] Des principes philosophiques qui gouvernent le monde Nous sommes au cœur de l'idéologie qui se développe dans cette chine du XVII XVIIIe siècle( un système de pensé. I-Chin ouvrage écrit au premier millénaire avant notre ère. On traduit le titre par le Livre des mutations. C'est un ouvrage qui à l'origine est un ouvrage de prédiction c'est-à-dire qu'on pose une question, et le I-Chin y répond. Or ce livre est conçut de la manière suivante, deux principes régiraient le monde. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture