Politique, Religion, politique religieuse du souverain, révoltes, acteurs de la révolution, parlement, armée
Très nettement circonscrite, cela signifie qu'on peut circonscrire ces révoltes dans l'espace. Par exemple ont c'est qu'il y a deux zones géographiques privilégiées pour la révolte (en Angleterre uniquement) :
- La plus récalcitrante est le nord de l'Angleterre, à la frontière avec l'Écosse. C'est une zone très très longtemps restée marquée par le catholicisme
- Le sud et sud-est de l'Angleterre, il n'y a pas de détermination religieuse à proprement parler.
Cependant pour ce qui est de la guerre civile en 1640 tout le royaume d'Angleterre et le pays de Galle sont concernés. La guerre civile n'est donc pas liée à des déterminations géographiques très nettement repérables. Même si nous savons que la ville de Londres est très concernant par ces perturbations.
[...] C'est la force militaire qui impose Cromwell. Cette armée est formée en 1645 mais avant la décennie 40 des tensions apparaissent entre le parlement et l'armée. Le parlement souhaite demeurer le moteur de la révolution, avec cette idée que les presbytériens sont majoritaires dans le parlement. Or pour cela il n'y qu'une solution, que cette armée ne soit pas permanent. Le parlement souhaite qu'après que Charles Ier soit éliminer ont débande, on dissout l'armée. L'armée est favorable à une armée professionnelle, pour elle c'est une nécessité de survie, et la volonté d'imposer un pouvoir plutôt d'obédience indépendante. [...]
[...] A la fin du siècle, en 1673 est pris un texte par le parlement le Bill du Test, dans lequel il est dit que toute personne ayant une fonction dans les institutions du royaume, chez les magistrats, doit communier selon le rite de l'Eglise d'Angleterre. C'est-à-dire le pain et le vin. A l'époque s'engager dans un tel mensonge c'est aller en enfer, il n'est donc pas possible qu'un catholique pour conserver son poste accepte de faire semblant de communier selon le rite anglicane. S'il refuse ils sont exclu. [...]
[...] Pour lui il y a une possibilité de désobéissance quand le souverain se trouve en situation de tyran. Au 16e 17e siècle un tyran est un souverain qui a perdu sa légitimité. Cette question a beaucoup perturbé les philosophes de l'époque, parce que le même Milton, comme dans son pamphlet : Lost Paradise, écrit que l'obéissance est un élément essentiel dans le comportement d'un peuple. Mais cette obéissance est parfois en porte à faux avec quelque chose d'essentiel pour ces hommes qu'est la liberté. [...]
[...] Au court du 17e siècle il représenterait à peu près de la population, ce qui veut dire que malgré la réforme il subside des papistes Ils sont présent dans toute les couches de la société anglaise. Ces catholique jusqu'à la révolution sont brimé, ils ont plus ou moins bien vu dans cette société. D'autant plus qu'on voyait en eux des agitateurs des organisateurs de complot. Cette espèce de paranoïa à l'encontre des catholiques trouve dans l'affaire de 1588, lors de l'épisode de l'invisible armada. On a vu à partir de là en tout catholique un espion de l'Espagne mais aussi de la France. [...]
[...] Politique et Religion Très nettement circonscrite, cela signifie qu'on peut circonscrire ces révoltes dans l'espace. Par exemple ont c'est qu'il y a deux zones géographiques privilégiées pour la révolte (en Angleterre uniquement) : - La plus récalcitrante est le nord de l'Angleterre, à la frontière avec l'Écosse. C'est une zone très très longtemps restée marquée par le catholicisme - Le sud et sud-est de l'Angleterre, il n'y a pas de détermination religieuse à proprement parler. Cependant pour ce qui est de la guerre civile en 1640 tout le royaume d'Angleterre et le pays de Galle sont concernés. [...]
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