Place de l'Europe, Monde, depuis le 16e siècle, pensée hellénistique, Etat, Machiavel, République de Venise
Le nom Europe vient de l'antiquité grecque. Europe princesse enlevée par Zeus qui enfanta Minos, le 1er roi de Crète : Berceau de la civilisation Européenne au 2e millénaire. Au Moyen-Age on l'appelait la république chrétienne, etc., mais jamais l'Europe. Les empereurs se disputaient les restes de l'Empire romain. Au 13e siècle, le corpus juris civis redécouvre le droit romain ainsi que les notions d'imperium et de majestas à la souveraineté. La France est alors un pays très puissant revendiquant son indépendance sur le Pape et le Saint Empereur germanique romain.
Ainsi, à Bouvines, le dimanche 27 juillet 1214 Philipe II affronte le Saint Empereur germanique qui attaque par le Nord tandis que l'Angleterre attaquait par le sud à Angers ! Après il y eut 8 jours et 8 nuits de fête à Paris.
[...] L'invention de l'imprimerie facilite la tâche. Dans ce contexte : - La scolastique (commentaire de commentaire) est discréditée en éclaboussant Aristote, alors vu comme l'autorité absolue. Ils avaient déformés les dires d'Aristote et sa pensée était dépassée dans certain domaine (la physique). On assiste à un rejet complet d'Aristote et c'est Descartes qui lui portera le coup de grâce. - La redécouverte des manuscrits a engagé un engouement pour la philosophie sceptique, helléniste et épicurienne. Cicéron, Lucres et Sénèque sont à la mode. [...]
[...] La place de l'Europe dans le Monde depuis le 16ème siècle Le nom Europe vient de l'antiquité grecque. Europe princesse enlevée par Zeus qui enfanta Minos, le 1er roi de Crète : Berceau de la civilisation Européenne au 2e millénaire. Au Moyen-Age on l'appelait la république chrétienne, etc., mais jamais l'Europe. Les empereurs se disputaient les restes de l'Empire romain. Au 13e siècle, le corpus juris civis redécouvre le droit romain ainsi que les notions d'imperium et de majestas à la souveraineté. [...]
[...] Elle porte aussi les germes de la philosophie moderne notamment l'individualisme, positivisme juridique et subjectivisme. On y voit un rejet de l'ordre naturel et du droit naturel. Il n'y a pour d'Occam, pas de paternité juste un père et un fils. Les agencements d'individus ne sont que des conventions. Il sépare la philosophie et la foi, et rejette les preuves rationnelles de l'existence de Dieu. Le nominalisme à des échos croissant auprès des universités au 14ème et 15ème siècles. Il y a une forte opposition entre d'Occam et d'Aquin. [...]
[...] Comme l'Europe donne le ton elle influence le reste du monde pour le meilleur et pour le pire ! Les mœurs Européenne se propagent dans le monde entier. On aperçoit alors trois ruptures dans la chrétienté médiévale, entrainant une mutation des mentalités : - Le nominalisme - La redécouvertes des pensées hellénistiques - L'affirmation d'une nouvelle conception de l'Etat. Le nominalisme est une école de pensée qui postule qu'il n'existe que des choses individuelles et des particuliers. Par exemple il n'y a pas de maladie mais des malades. [...]
[...] Depuis Louis XI, elle met en déroute tout ceux qui lui font de l'ombre. La principauté d'Anjou, celle de Bourgogne, plus tard celle de Bretagne. On a alors 15 millions d'habitant alors que les autres pays n'en comptent que quelques 3 ou 4 millions seulement. On bénéficie d'une agriculture prospère, on parle alors du Beau 16ème avec une économie cool. Les institutions françaises sont un modèle de monarchie tempérées. La position géographique est intéressante avec deux ouvertures maritimes. L'Italie jouie d'un rayonnement artistique et littéraire inégalé ! [...]
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