Bonnes villes, ville classique, du XVIe au XVIIe siècle, classe des Sanior Pars, Henri IV
Fin du système des « bonnes villes » après l'échec de la Ligue et fin des guerres de Religion combinée avec la restauration de la monarchie d'Henri IV au XVIe siècle.
Les « bonnes villes » : système urbain plus ou moins autorégulé soutenu d'un unanimisme civique prennent fin. Ce système procurait un puissant sentiment de sécurité, idée de collectivité forte, mais aussi mépris pour le rural.
[...] Le passage des bonnes villes à la ville classique du XVIème au XVIIème siècle Fin du système des bonnes villes après l'échec de la Ligue et fin des guerres de Religion combinée avec la restauration de la monarchie d'Henri IV au XVIe siècle. Les bonnes villes : système urbain plus ou moins autorégulé soutenu d'un unanimisme civique prennent fin. Ce système procurait un puissant sentiment de sécurité, idée de collectivité forte, mais aussi mépris pour le rural. Au lendemain des guerres de religion, fin des bonnes villes Cependant, cet éclatement de bonnes villes se passent différemment dans chaque région. [...]
[...] Cette montée en puissance des officiers accélèrent la fracture des bonnes villes au profit d'une urbanité nouvelle qui prône le meilleur et le savoir-vivre. En effet, les officiers tentent de se distinguer du “menu peuple” considéré comme ignorant et vil. D'autre part, il y a l'Eglise, en particulier dans son rôle principal dans la Contre-réforme. L'Eglise condamne les pratiques festives et populaires existantes depuis le XVIème siècle. En définitive, au XVIIe siècle, l'âge classique met en évidence la conjoncture de ces 3 acteurs ce qui provoquent des mutations dans la ville. [...]
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