L'Holocauste en Roumanie, exposé d'histoire moderne de 13 pages
[...] Cuza doctrine qui s'accomplit sous la sage commande du Conducteur Ion Antonescu Pour les nationalistes, ce régime symbolisait l'accomplissement de la revendication d'exclusion des Juifs premièrement l'exclusion mentale et puis, l'exclusion physique. Les restrictions et la législation antisémite ont réussi, avec le temps, de transformer les Juifs dans des personnes sans entité. C'est pourquoi Antonescu et l'opinion publique pouvaient parler des valeurs universelles, sur la morale et sur la justice, sans sentir le besoin de se justifier ou même de préciser que ces valeurs ne s'appliquent pas aux Juifs. L'exclusion des Juifs de la conscience nationale continuait depuis une décennie. La société roumaine, écrivait un journaliste antisémite, souffre d'une haine profanatrice. [...]
[...] La politique antijuive s'est transformée dans un élément importante de la politique interne, c'était presque le seul domaine où le régime pouvait initier des reformes et respecter des promesses Antonescu a introduit une législation antisémite, mais qui contenait quelques exceptions, en ce qui concerne les Juifs qui ont apporté une contribution réelle au pays, et surtout pour les anciens militaires décorés Le régime d'Antonescu, a réagit pas seulement contre les juifs, mais aussi contre je Judaïsme en appelant à la religion chrétienne et aux slogans antisémites concernant la hideur et le satanisme de la religion juive, la dénigration du Juif et les valeurs judaïques, opposées aux valeurs chrétiennes. Les promoteurs de cette politique ont été les journaux, les journalistes et quelques prêtres orthodoxes roumains, et partiellement l'établissement fasciste. [...]
[...] Dans ce projet, il n'y avait pas aucun lieu d'existence pour les Juifs, et son application a commencé par l'exclusion des Juifs de la Roumanie et puis leur extermination. De point de vue idéologique, certains Roumains ont vu dans le régime d'Antonescu la réalisation du nationalisme antisémite d'A.C. Cuza. De point de vue politique, il a était conçu comme la continuité du gouvernement de Goga et A.C. Cuza. La presse roumaine a mis en évidence pendant cette période-là les réalisations antisémites et nationalistes du gouvernement Goga-Cuza, en blâmant les Juifs de la Roumanie et du monde entier pour la chute de ce gouvernement. [...]
[...] Aussi, les Juifs étaient considérés la principale cause des difficultés internes du régime pour assurer la bonté des citoyens. Antonescu a été soutenu dans ses projets par des fonctionnaires de l'ancien régime, mais aussi par des membres du Parti Libéral (un membre de ce parti a été nommé ministre de l'Economie par Antonescu). La presse antisémite a indiqué l'existence des quelques groupes de résistance intellectuelle, qui ont repoussé, en tenant compte des valeurs humaines, les attaques du régime contre les Juifs. [...]
[...] Une autre initiative antisémite du domaine de la législation a été, en réalité, en vain. Le Ministère d'Education, de la Culture et des Arts a organisé la révision des toutes les lois actuelles pour les mettre d'accord avec le système social national Mais, cette initiative a été précédée de l'exclusion des élèves et des professeur Juifs de tout le système d'enseignement d'état et d'annulation des droits des écoles juives d'émettre des diplômes reconnues. Une autre loi de février 1941 a permis aux écoles confessionnelles des églises de recevoir des élèves chrétiens, n'importe l'origine ethnique et aux écoles particulières de recevoir même des élèves chrétien avec un parent Juif Une loi raciale spéciale a été dirigée, en fait, contre les Roumains. [...]
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