Guerre de course, XVIe siècle, corsaires barbaresques, enjeu majeur dans la méditerranée, Traité de Paris, musulmans, chrétiens
Au XVIe siècle, la guerre de course est un revenu essentiel pour les États. Elle est dirigée par des corsaires. Un État autorise la guerre de course et délivre aux hommes le statut de corsaire. Les corsaires barbaresques agissent pour l'Empire ottoman. Ils jouent un rôle important. Ils se sentent investi d'une mission religieuse : par exemple la gaza (guerre religieuse). Les chrétiens jouent aussi un rôle important.
[...] En théorie le capitaine corsaire doit s'assurer de la nationalité du bateau avant de pratiquer le pillage possibilités : soit on pille le bateau et on le brûle, soit on décide de garder le bateau et il suit les bateaux corsaires ou alors on garde le bateau et il ne suit pas les bateau corsaire et on le fait ramener au port initial. Les attaques contre les côtes : type d'attaque de la guerre de course. Dans l'ensemble, toutes les côtes chrétiennes sont touchées. Exemple de Barberousse maitre d'Alger et chef de la marine ottomane qui attaque essentiellement les côtes italiennes. [...]
[...] -La guerre de course au XVIe siècle- Au XVIe siècle, la guerre de course est un revenu essentiel pour les États. Elle est dirigée par des corsaires. Un État autorise la guerre de course et délivre aux hommes le statut de corsaire. Les corsaires barbaresques agissent pour l'Empire ottoman. Ils jouent un rôle important. Ils se sentent investi d'une mission religieuse : par exemple la gaza (guerre religieuse). Les chrétiens jouent aussi un rôle important. En quoi la guerre de course est un enjeu majeur dans la méditerranée du XVIe siècle ? [...]
[...] Tout d'abord, la pratique de la guerre de course a perturbé la circulation maritime. Fin du XVIe et début du XVIIe marque l'apogée de la guerre de course puis favorise un long déclin à partir de la 2nde moitié du XVIIe siècle. C'est le Traité de Paris qui interdira la guerre de course. La guerre de course : un affrontement encadré entre chrétiens et musulmans La course chez les musulmans : le fait des barbaresques Au XVIe siècle, on fait appel au Maghreb, à des marins importants de l'empire ottoman. [...]
[...] Que rapporte la guerre de course : mise en place d'un système selon les cités. Dans les cités barbaresques comme Alger, le pacha de la ville prend entre 10 et 12% de la valeur soit en nature soit après la vente ; à cela on ajoute des taxes qui reviennent à des fonctionnaires, des administrateurs, ; on donne par ailleurs des primes spécifiques aux marins qui se sont le plus illustrés à bord ; il faut ajouter les frais de déchargement, de mesure, de vente. [...]
[...] Plus largement, en Méditerranée, les corsaires privés peuvent opérer entre les différents ports qu'on trouve dans tous les territoires en méditerranée : on peut en citer au moins 2 ou 3 : cf. en Sicile, à Trapani (rive sud de la Sicile, en face de la côte barbaresque), en France : Toulon et La Ciotat, en Espagne : les Baléares (avec en particulier Majorque). Sur ces bateaux : les équipages ; on a des équipages qui viennent de toute l'Europe. A Malte, on estime que seulement 50% de l'équipage est maltais, le reste provient de grecs, de majorquins, de provençaux (du fait des contacts entre la France et l'ordre). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture