Le grand schisme d'Occident, 1378-1417, papauté, chrétienté, odébience
XIIIe siècle : apogée de la papauté.
XIV : déclin de son autorité temporelle (ex : lutte entre Boniface VIII et Philippe IV le bel).
1307-1378 : papauté d'Avignon, renforcement de la papauté en temps qu'état : bureaucratie forte, ponction fiscale importante: pape agit et se comporte comme un monarque (entouré d'une cour).
Grand Schisme : fracture politique car affrontement de deux camps pour la suprématie pontificale.
[...] Le concile de Constance, un retour à l'équilibre Concile de constance 1414-1418. Sigismond de Luxembourg : roi des romains garant du concile avril 1415 : Haec sancta qui affirme que le concile à une autorité supérieure à celle du pape. Déposition de Jean XXII (Pise), de Grégoire XII (Rome) et fuite de Benoit XIII (Avignon) grâce à Sigismond 11 novembre 1417 : élection de Martin fin du grand schisme mais équilibre fragile 9 octobre 1417 : promulgation de 5 décrets pour régler toutes nouvelles possibilités de schisme, le 1er est Frequens qui est le signe du triomphe du conciliarisme: affaiblissement de l'autorité papale Vers des églises nationales Gallicanisme : doctrine qui affirme la limitation constitutionnelle de l'autorité papale et la soumission au roi formes : royale (régalisme), théologique et parlementaire. [...]
[...] Nouvelle figure de Dieu le père est apparut durant la période du grand schisme avec la tiare et les vêtements pontificaux. II- La chrétienté dans l'impasse : des soustractions ‘obédience au concile de Pise 1. La voie de cession La voie de fait : il ne doit rester qu'un seul pape (élimination physique du camp d'adverse) La voie de cession : destitution des deux papes La via conventionis : compromis par arbitres, les universités La via conciliaris : réunion d'un concile général qui imposerait une solution pour tous : concile de pise. [...]
[...] La rupture de avril 1378 : élection d'Urbain VI, contesté par une partie des cardinaux septembre 1378 : ces mêmes cardinaux se réunissent à Fondi pour élire un nouveau pape : Clément VII 1379 : constitution des deux camps : Urbain VI à Rome (partie ubainiste)- Cléments VII à Avignon (partie clémentiste) Chaque camps est soutenue par les puissances occidentales de l'époque 2. La question des obédiences (veut et devoir d'obéissance dans le travail ici intégrer un clan) Le schisme c'est fait sur des questions internes et pas sur des questions religieuses. Caque partie essaye de discriminer l'autre en le montrant comme des antis papes L'église apparait comme une structure politique plutôt qu'une structure sociale 3. Lees fidèles entre deux obédiences Messe pour l'unité de l‘église en 1392 par Cément VII (Avignon). [...]
[...] Les annates : impôt perçu par le pape sur les bénéfices ecclésiastiques, à chaque vacance du siège doté De nouvelles hérésies ou prémisses de la reforme John Wycliff (1331-1384) : théologien anglais qui critique la Hiérarchie et la Richesse de l'église. (Ses partisans les Lollards auront un rôle important dans le déclenchement de la Révolte des Travailleurs en 1381 Jan Hus (1373-1415) : théologien de Bohême qui a influencé les écrits de Wycliff, il critique aussi l'église. Il sera jugé et brulé sur le buché en 1415 pendant le concile de Constance. [...]
[...] Développement es méditations sur es vanités terrestres et le gout du macabre (voir tombeau du Cardinal de la Grange). Accentuation pendant le grand schisme de l défiance du haut clergé, à paris il se font hué. Leur cupidité, leur luxure est vu comme responsable des maux du temps. Retable de Jacques de Boerze : prédominance dans la trinité du pape pour marqué son autorité. Multiplication des livres de prières pendant le grand schisme. On a la volonté d'une religion plus personnelle surtout parmi les élites aristocratiques. [...]
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