François Ier, Prince de la Renaissance, politique royale, monarque humaniste, politique culturelle
Fils de Charles, Comte d'Angoulême et de Louise de Savoie. Il a une sœur Marguerite de Valois. Ils appartiennent à une branche cadette de la famille des Valois. Rien ne prédestine alors François à devenir roi de France à ses 20 ans.
Son père meurt quand il a 2 ans, c'est à dire en 1496. Sa mère s'occupe de son éducation. Elle est persuadée qu'il est promis à un grand avenir. En 1498, son cousin devient roi sous le nom de Louis XII. Il épouse Anne de Bretagne. François est élevé à Cognac puis à Amboise. Pour son éducation sa mère fait appel à Arthus Gouffier qui lui apprend à être un gentilhomme : la chasse, les armes et l'équitation. On développe chez lui un idéal chevaleresque. François est marqué par cet idéal, il va combattre en armure.
[...] En 1528 à Paris on retrouve une statue de la Vierge Marie brisée. Le roi est choqué. Il décide de prendre la tête de la procession d'expiation. Il amène une nouvelle statue qui sera béni. L'évêque de Lisieux rappelle alors qu'ils doivent rester de bons catholiques. Ex: l'affaire des placards en 1534. Un pasteur Antoine Marcour, picard, écrit un texte contre les abus de la messe papale, l'imprime et le fait afficher sur les mur. Une de ces affiches se retrouve même sur la porte de la chambre du roi. [...]
[...] Il participe à Marignan. Mais François Ier s'en méfie car il est très riche. Il est également pair de France. François Ier multiplie alors les humiliations en refusant de lui donner le commandement de l'armée. Sa femme meut sans enfants, Louise de Savoie réclame alors l'héritage: c'est un déni de justice car cet héritage était censé lui revenir. Il s'oppose alors au roi. Il accepte le mariage avec la sœur de Charles Quint. Le 5 septembre 1523, François Ier demande son arrestation mais celui-ci s'échappe en Espagne et devient gouverneur de l'armée. [...]
[...] François Ier le disgracie en 1541. II La politique royale 1. Une politique étrangère: domaine de la gloire François Ier se situe dans une logique de relations personnelles. Henri VIII est son alter ego, et ils partagent tous les deux le culte de la surenchère. En revanche il considère Charles Quint comme son ennemi personnel. Il a une vision simpliste, ce n'est pas un stratège politique. François Ier est obsédé par le Milanais, il va tout faire pour retrouver le pouvoir là-bas. [...]
[...] François Ier: Un Prince de la Renaissance I Un Prince modèle de la Renaissance 1. L'enfance d'un Prince Fils de Charles, Comte d'Angoulême et de Louise de Savoie. Il a une sœur Marguerite de Valois. Ils appartiennent à une branche cadette de la famille des Valois. Rien ne prédestine alors François à devenir roi de France à ses 20 ans. Son père meurt quand il a 2 ans, c'est à dire en 1496. Sa mère s'occupe de son éducation. Elle est persuadée qu'il est promis à un grand avenir. [...]
[...] Il fait des merveilles lors de la conquête du Milanais. Il veut également prendre la forteresse de Pavie le 24 février 1525 mais c'est un échec. Il meurt au combat alors que François Ier et fait prisonnier. Philippe Chabot: baron de Gearnac et élevé dans l'entourage de François. Le roi va en faire un gentilhomme de la Chambre et maire de Bordeaux. Il a une grande carrière militaire et fait également parti du désastre de Pavie et est également fait prisonnier. [...]
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