Le christianisme occidental au XVIe siècle et XVIIe siècle

Thèmes abordés

Christianisme occidental, XVIe siècle et XVIIe siècle, Eglise, sacrement, communauté chrétienne

Résumé du document

Depuis 1054 le christianisme a éclaté en 2 églises rivales : l'église d'orient qui ne reconnait plus l'autorité des papes, et du côté occidental les catholiques qui reconnaissent l'autorité du pape. L'Europe à la fin du moyen âge est unifiée et reconnait l'autorité du pape. A l'exception de quelque minorité juive (alsace) à peu près tout le monde est chrétien, à la fin du 15esiècle il n'est pas question d'athéisme, il y a unanimité dans la foi catholique. Malgré qu'elle ne soit pas toujours fervente. L'Eglise est donc puissante, elle est hiérarchique avec les évêques puis les prêtres qui encadrent la vie de la population. Les lettrés sont peu nombreux, la masse de la population est peu instruite, l'image à une force catéchétique (moyen de faire passer la doctrine) très puissante.

Extraits

[...] Cette fresque montre les principaux personnages qui constituent la monarchie ecclésiastique : - Le pape : successeur de St pierre chef des apôtres et donc chef de l'Eglise catholique. Le pape à une coiffure spécifique : la tiare qui symbolise les 3 pouvoirs évêque de Rome, autorité sur l'Eglise, chef des catholiques - Les cardinaux sont les conseiller privilégier de l'Eglise. Ils existent dèsles débuts de l'Eglise. Au départ aussi bien laïc qu'ecclésiastique. Depuis le 11e siècle il on le privilège de l'élection des papes. - L'archevêque est le nom que l'on donne à un prélat qui est à la tête d'une circonscription appelé province ecclésiastique. [...]

[...] L'importance de l'image se voit également grâce au triptyque de Rogier van der Weyden le Sacrement Le sacrement est un signe efficace et visible de la grâce invisible. La grâce est le nom que l'on donne à l'action effective de dieu. Pour les catholiques les prêtres par des rites sont capables de rendre la grâce de dieu parmi les hommes, c'est ce qu'on appelle le sacrement. Il y en a 7 : La confirmation donne au fidèle la force du saint esprit seulement donné par l'église L'eucharistie : temps pendant lequel lesprêtrestransforment le vin et le pain en sang et peau de jésus L'ordre est le moment ou les évêquesinstruisent les prêtres. [...]

[...] Un religieux est le nom qu'on donne à un homme ou à une femme qui c'est couper de la communauté chrétienne pour mener une vie de sanctification (pénitence). Ces religieux se soumettent à une Règle qui précise leur devoir, leur obligation. Ils font 3 vœux, chasteté, pauvreté et obéissance. Certains religieux son ordonner prêtres mais pas le contraire. Sur la fresque on peut voir des laïques (fidèles) avec les 3 grandes catégories : les princes, les bourgeois, et les paysans. Doc 6 : tableau de Pier Francesco Sacchi. Ilprésente les quatre pères de l'Eglise latine. [...]

[...] A l'exception de quelque minorité juive (alsace) à peu près tout le monde est chrétien, à la fin du 15esiècle il n'est pas question d'athéisme, il y a unanimité dans la foi catholique. Malgré qu'elle ne soit pas toujours fervente. L'Eglise est donc puissante, elle est hiérarchique avec les évêques puis les prêtres qui encadrent la vie de la population. Les lettrés sont peu nombreux, la masse de la population est peu instruite, l'image à une force catéchétique (moyen de faire passer la doctrine) très puissante. L'image le tableau la gravure, le retable est rare et fascine. C'est ainsi un vecteur d'enseignement. [...]

[...] Les Pères de l'Eglise sont les théologiens qui ont constitué la doctrine catholique entre le Ve siècle et 7e siècle. Ils sont parfois grecs ou latins (en Italie, Espagne Ici ont à les 4 Pères de l'Eglise latine : Saint Augustin (païen convertie au catholicisme) Saint Grégoire le grand (pape) Saint Jérôme (prêtre et grand érudit, il va pour la première fois traduire la bible en latin= la vulgate), Saint Ambroise (évêque de Milan du Ive siècle, conseiller de l'empereur Théodose qui aurait convertit Saint Augustin). [...]