Dans son célèbre texte « Qu'est ce que les Lumières ? », Emmanuel Kant définit les Lumières comme la « sortie de l'homme de sa minorité dont il est lui-même responsable ». Kant explique ainsi que l'homme se doit de ne plus subir l'entendement d'un autre mais doit par lui-même raisonner. La devise des Lumières est selon le philosophe allemand Sapere aude ! (Ose penser). En effet les Lumières sont un mouvement intellectuel qui est né vers 1688 (révolution anglaise) et recouvre tout le XVIIIème siècle. Ce mouvement se fonde sur la raison et l'expérience, il tend à remettre l'individu au centre des préoccupations métaphysiques.
[...] Débats socio-économiques des Lumières, dont l'enjeu est celui de remettre en question le rapport de l'Etat et de la Société. - Conflits avec l'Eglise, plus précisément le clergé. Critique du christianisme, jugé contraire à l'esprit social. + Débat sur le célibat religieux. Et pourtant, il existe des Lumières chrétiennes. (Contre les superstitions et les indécences) Critique de la Monarchie absolue et de la noblesse - Remise en cause de l'origine du pouvoir. - Remise en question de la Monarchie. Là les philosophes jouent un rôle politique pour la réforme et le progrès. [...]
[...] Exposé d'Histoire Qu'est-ce que les lumières ? Dans son célèbre texte Qu'est ce que les Lumières ? Emmanuel Kant définit les Lumières comme la sortie de l'homme de sa minorité dont il est lui-même responsable Kant explique ainsi que l'homme se doit de ne plus subir l'entendement d'un autre mais doit par lui-même raisonner. La devise des Lumières est selon le philosophe allemand Sapere aude ! (Ose penser). En effet les Lumières sont un mouvement intellectuel qui est né vers 1688 (révolution anglaise) et recouvre tout le XVIIIème siècle. [...]
[...] Résistance de la part des croyants et des anti-Lumières. Malgré cela, les Lumières ont effectué le plus gros du travail, non seulement dans les élites, mais dans la masse du peuple, comme l'a résumé l'historien français Paul Hazard dans La crise de la conscience européenne 1650-1750. En somme, l'ébranlement des certitudes anciennes qui teinta cette époque n'est pas sans avoir un lien direct avec la génération révolutionnaire. Ce qui ne signifie nullement qu'elles aient consciemment appelé de leurs vœux la Révolution de 1789. [...]
[...] C'est la philosophie qui prend en main les affaires publiques. Transition : Plus de lumière, plus de raison, nullement la révolution. II . et diffusent de nouveaux modèles Changements radicaux - Appliquer la rationalité à la science - Idéal philosophique (Les valeurs essentielles : tolérance, liberté, égalité, qui débouchent sur droits naturels) - La rationalité en politique (séparation des pouvoirs, avènement de la démocratie). L'opinion sans le peuple : contradiction. Hiérarchiques et directives, les Lumières valorisent la liberté et le savoir, à visée universelle, sans que tous y aient accès Modes de diffusion et leurs limites - La diffusion des lumières passe par plusieurs vecteurs : Parlements : Il est erroné de croire que les Parlements sont les adversaires des Lumières. [...]
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