Louis XVI, duc de Berry, réformes, monarchie absolue, Révolution de 1789, monarchie constitutionnelle, la Constituante
Louis Auguste duc de Berry, futur roi Louis XVI, est né le 23 août 1754 à Versailles. C'était un dauphin extrêmement conservateur et très religieux. Son frère aîné fut admiré par tout le monde même s'il ne le méritait pas. Le duc de Berry chercha à l'imiter en étant persuadé de trouver en lui le meilleur des modèles. Il mourut en 1761 et fut regretté surtout par ses parents. Le duc de Berry, différent de ses frères, souffrit silencieusement du manque d'affection parentale et parut terne et calme extérieurement tout en étant sensible et curieux dans son fort intérieur. Il avait la réputation d'être balourd mais possédait en fait un esprit pénétrant et était très cultivé. Après la mort de ses parents en 1765 et 1767 qui l'affecta beaucoup, il s'attacha beaucoup à son précepteur dont il reçut la reconnaissance, ce qui lui apporta finalement la confiance en lui qui lui manquait.
[...] Affin de montrer sa dépendance à l'égard de la nation, on avait changé son titre de «roi de France» en «roi des Français» et on lui avait obligé de serrer fidélité à la nation et à la Constitution. Le seul véritable pouvoir qui lui restait, mais où il était tout de même surveillé était la politique étrangère. La reine Marie-Antoinette toutefois rêvait de la revanche et gardait l'espoir de revenir. Lors de la fête de la Fédération le roi réussissait à rétablir sa popularité aidé par Mirabeau dominant l'Assemblé, qui essayait de sauver le roi et de lui donner sa place prévue dans la Constitution. [...]
[...] Une nouvelle Assemblé fut élu et il se formèrent plusieurs partis. Le roi ne décidait pas pour une d'entre eux et tombait en discrédit encore plus à cause de son véto utilisé contre des décrets urgents. Le roi veut la guerre Ensuite le roi nommait des ministres Girondins affin de les rendre plus modérés et de gagner un peu en popularité. Ces derniers souhaitaient la guerre et pour ruiner la résistance du roi et pour étendre la révolution sur tout l'Europe (idée d'une République universelle). [...]
[...] VI.La chute sanglante de la monarchie (1792-1973) La chute de la monarchie L'armée prussienne menaçait d'envahir la France si on ne rétablissait pas l'ancien régime et le roi, ce qui provoquait la demande officielle de la déchéance du roi par la ville de Paris. Ensuite les Tulleries, où logeait le roi, furent pris d'assaut, mais le roi put se réfugier chez l'Assemblé qui le protégeait affin de sauver la Constitution. Par conséquence la France fut envahie par les armées ce qui était suivi par un terreur dans tout le pays où un grand nombre de modérés et des prêtres furent tués. [...]
[...] A l'époque le roi avait le dernier mot sur tous les décisions. Quand le parlement essaya de changer ce fait et de gagner plus de pouvoir, le roi les remplaça complètement. Le peuple commença alors à appeler le régime tyrannique et mit tous ses espoirs dans le nouveaux roi de qu' ils espérèrent surtout des reformes II.Les tentatives de réformes (1774-1781) Un roi bien aimé Malgré le fait que le nouveau roi se sentait mal préparé pour sa fonction, il songea à ses devoirs et se monta sérieux, raisonnable et sensible aux malheurs des pauvres. [...]
[...] Ils furent dissous par la force et pour agir contre cette alliance entre l'Église traditionnelle et les royalistes, soutenus par les souverains étrangers, l'Assemblé menaçait les émigrés de peine de mort et la confiscation de tous leurs bien s'ils ne décidèrent pas à revenir tout de suite. Cela avait pour conséquence une plus grande vague d'émigration. Les fautes de Louis XVI La situation des Parisiens n'avait pas changé et le chômage et la faim provoquaient un grand mécontentement de la population. Les peuples d'Europe étaient occupés par différents guerres entre eux, mais avaient malgré tout peur d'une expansion de la République. [...]
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