Crise, XIX siècle, population, Québec
Une grande période de croissance voit le jour, au Québec, vers le début du 19e siècle. Cette croissance a une influence directe sur le développement sociale, démographique et économique de la ville, mais une importante crise viendra chambouler la croissance du Québec, environ 45 ans plus tard, en affectant son aspect économique et son aspect social. Également, cette crise stabilisera de manière quasi-totale le taux de croissance de la ville qui au cours des années précédentes avait atteint les 34%. Cette stabilisation réduira de manière importante la diversité culturelle de la ville de Québec ce qui mettra l'accent sur le coté francophone de la ville et son importance. En effet, c'est surement l'une des causes de la croissance du taux de Franco- catholiques depuis 1851 dans la ville. Afin d'analyser les répercussions de cette crise sur la ville plus en profondeur, nous analyserons trois familles provenant de la base de donnée du recensement de 1901. Chaque famille sera analysée selon le quartier ainsi que l'environnement social et géographique dans lequel elles vivent et selon les caractéristiques démographiques du ménage, c'est-à-dire selon les caractéristiques de chaque individu de la famille. Aussi, les caractéristiques touchant les aspects socio-économiques du ménage seront également sujettes à l'analyse. La famille Marois débutera l'analyse, suivie de la famille Rickaby ainsi que de la famille Jolicoeur.
[...] Pour finir, cette famille anglo-anglicane fait partie d'une minorité au Québec et dans Montcalm, car la plupart du monde est franco-catholique. Cela ne les empêches pas de pratiquer, mais ils ne sont pas encouragés ni appuyés par leur entourage. COURVILLE Serge, l'heure de l'industrie», p (Du recueil de textes) NOVEMBER Valérie, «L'incendie créateur de quartier ou comment le risque dynamise le territoire», p.367-388 LANOUETTE Nicolas, Québec comme laboratoire urbain: transformations socioprofessionnelles et industrialisation dans la ville de Québec, 1871- 1901», p.43-61 LAFLAMME Valérie, Familles et modes de résidence en milieu urbain québécois au début du XXe siècle : l'exemple de la ville de Québec p. [...]
[...] On peut également voir que le groupe ethnique de lequel ils font partis, a connu un taux de croissance qui a passé de à entre 1851 et 1901. [7]Les Marois bénéficieront d'un avantage, car ceux-ci étant Canadiens français et d'origine urbaine, ont échappés aux impacts et aux retombés suivant les migrations, car le total de migrations sera comblé par un nombre total quasiment égal d'arrivées. C'est-à-dire que la croissance de la population de Saint-Charles n'en subira aucunes conséquences. Tout d'abord, la famille Rickaby est composée de David et Jessie ainsi que leurs six enfants. [...]
[...] Comme dans l'ensemble du Québec à cette époque, la population est jeune de la population est en bas de 14 ans et 60% en bas de 29 ans. Situé dans le milieu de la Haute-Ville, le quartier Montcalm est un endroit de toute beauté selon Chantale Gingras. Elle permet de voir loin dû à son altitude de 80 mètres et la vue y est magnifique. De plus il y a le vent venant du fleuve qui caresse le visage et les structures sont belles, variées et de toutes beautés.[5] FAMILLE JOLICOEUR ET COMPARAISON. [...]
[...] Ce nouveau secteur sera le secteur tertiaire. La population de Saint-Charles compte au total un nombre de habitants, ce qui représente environ 57% de l'ensemble de la ville. La famille Rickaby habite le quartier de Montcalm situé en Haute-Ville. Endroit où se retrouvent principalement les classes aisées, marchands, fonctionnaires et professionnels. C'est d'ailleurs aussi à cette place que se trouve la plupart de la population anglophone.[4] Ce quartier de 3915 habitants ne possède qu'environ de la population de la Haute-Ville. [...]
[...] Cela démontre qu'ils sont en santé et qu'ils ont les moyens de subvenir aux besoins de leurs familles, sans oublier qu'ils vivent en milieu rural, ce qui facilite grandement les naissances. De plus, bien que les enfants cadrent dans les pourcentages du quartier Montcalm et de la ville de Québec au niveau de l'âge de la population entre 0 et 29ans), il ne cadre pas dans le pourcentage du sexe. Le sexe de la population, autant dans le quartier Montcalm que dans l'ensemble de la ville, est presque de 50% pour chaque sexe. Cependant, la famille Rickaby n'a que deux hommes pour 6 femmes. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture